NCIS//FBI : portés disparus

Kate s’assit à son bureau et regarda sa montre : 07h55. Il n’y avait personne assit derrière les bureaux de ses collègues. Gibbs était certainement partit cherché un café. McGee, s’il était arrivé, devait être en bas avec Abby. Quand à Tony, il sera en retard comme d’habitude…
Kate soupira et sortit son carnet à dessin. Elle améliorait son dessin de son supérieur lorsque celui arriva à toute vitesse, un café dans la main.

Gibbs, sec : Où est Tony ?!
Kate, soupirant : Bonjour Gibbs, je vais bien merci de t’en inquiéter.
Gibbs, s’asseyant à son bureau : Mais de rien, où est Dinozzo ?!
Kate : Comment veux-tu que je le sache, Gibbs ! Je ne suis pas sa mère !...Heureusement pour moi d’ailleurs…

Gibbs lui jeta un coup d’œil amusé puis se replongea dans ses papiers, le visage dénudé de tout sentiment.

Kate : Pas d’enquête ?
Gibbs : Non, on va passer notre lundi à faire de la paperasse. Tu peux aller chercher McGee.

Kate aurait bien voulu lui dire : « tu as oublié le mot magique ! », mais elle tenait à rester en vie, surtout qu’il semblait de mauvaise humeur. Et comme d’habitude je prend tout sur la tête !

Lol ! Quelle ambiance (comme d'hab' par rapport aux épi's que j'ai vu lol) La suite !!!

et oui qu'est-ce que tu veux une ambiance à la "Gibbs" comme je les aimes...

Lol !

Kate descendit jusqu'au labo d'Abby, cette dernière jouait à l’ordinateur avec McGee.

Abby : Eh ! Bonjour Kate !
Kate : Salut vous deux ! Désolée de vous interrompre mais le boss est actuellement devant ses dossiers et il aimerait- à non ! pardon ! il exige !- que l’on en fasse autant…Ah inutile de préciser qu’il est d’humeur exécrable !
McGee : J’ai la nette impression que l’on va passer un mauvais lundi…

Gibbs était toujours assit à son bureau regardant ses papiers…sans les voir. Ses pensées se dirigeaient une nouvelle fois sur Kate. Pourquoi avait-il fallu qu’il l’agresse dés le lundi matin ?! Bien sûr qu’elle ne sait pas où est Tony ! Qu’est-ce que tu vas t’imaginer qu’elle sort avec lui ?! Et puis de toute façon si c’était le cas qu’est-ce que sa changerait ? Eh bien sa ne changerait rien justement ! Elle et moi on en serait toujours au même point, c'est-à-dire une relation patron-agent. Mais pourquoi j’ai inventé cette fichue règle ! De toute façon elle ne s’intéressera jamais à toi, tu es bien trop âgé et trop barbant. Arrête de rêver mon vieux !
Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur Abby, Kate et McGee. Ces derniers se précipitèrent derrière leur bureau sans dire un mot. Abby s’approcha du bureau de Gibbs.

Abby : Salut Gibbs !
Gibbs : Bonjour Abby.
Abby : Je peux te dire deux ou trois trucs ?
Gibbs : Si je te dis non tu le feras quand même, alors…
Abby, souriant : Tu n’as pas tord…Alors tout d’abord je trouve que tu es d’une humeur massacrante ce matin…
Gibbs : Depuis quand en es tu la victime ?!
Abby : Tu as encore raison : je n’ai jamais subi cette mauvaise humeur mais, je soutiens fortement les deux agents qui sont assis à leurs bureau et qui eux, doivent te supporter. Ah oui je soutiens aussi celui qui va arriver et pour qui cela risque de fortement barder…Ensuite je crois que tu devrais prendre un café parce que…

Le téléphone de Gibbs sonna interrompant Abby.

Abby, souriant : Parce que –pour finir- c’est ton anniversaire de mariage !

Gibbs eut un profond soupir et décrocha.

Gibbs, criant : Gibbs !
…
Tu sais quoi ?! J’ai eu une idée pour cette année et pour toutes les autres aussi d’ailleurs ! Tu te saoule si tu veux mais tu ne me saoule pas !

Il raccrocha le téléphone violemment faisant sursauter Kate.

Kate : Gibbs ! Le téléphone ne t’as rien fait !
Gibbs, énervé : Si ! Il m’empêche de travailler !
Abby, aux anges : Je vais te chercher un café !

Kate sourit en regardant son amie partir en sautillant.
Lorsqu’elle revint, elle était accompagnée de Ducky.

Ducky : Bonjour !
Kate et McGee: Salut Ducky !
Gibbs : Bonjour Ducky.
Ducky : Eh bien Jethro, Abigail ma raconté que tu avais décidé de tuer ces jeunes gens à la tache ?
Gibbs : Un peu de paperasse ne fait de mal à personne.
Kate : Ca, ça reste encore à prouver…
Gibbs : Un problème agent Todd ?!
Kate, soupirant : Aucun patron !

Pendant plus d’une heure, Gibbs, Kate et McGee ne baissèrent pas la tête de leurs papiers. A 09h30, Gibbs regardant enfin sa montre.

Gibbs, criant : Si Dinozzo n’est pas là dans un quart d’heure il est viré !
Kate, Abby, McGee, Ducky : Va prendre un café !

Le patron leva la tête, surpris par leur réponse simultanée puis se joint à leurs rires. Il commençait néanmoins à s’inquiéter. Il croisa le regard de Kate et y lu la même crainte. Cette dernière sortit son portable et composa un numéro la mine sombre.

Gibbs : Kate ?
Kate : Une seconde, tu veux ?...
Allo Ambre ? C’est Kate. S’il-te plait dis-moi que Tony est avec toi !
…
Et il n’est pas venu ?!
…
Je ne sais pas. D’accord, merci Ambre.

Elle raccrocha, le visage inquiet.

Gibbs : Es-ce que tu pourrais m’expliquer ?!
Kate : Il y a une semaine j’ai présenté Ambre à Tony, et ils ont tout de suite accroché. D’après Ambre, ils devaient partir en week-end à Miami. Leur avion était à 22h30, mais Tony n’est jamais venu la chercher.
McGee : Ca ne ressemble pas vraiment à Tony, une fille, un week-end à Miami, il n’aurai jamais raté ça…
Abby : Ca ne ressemble pas du tout à Tony. Gibbs il lui est arrivé quelque chose j’en suis sure !

Gibbs les regarda tour à tour, s’arrêtant quelques instants sur Kate, et il se leva.

Gibbs : Je vais voir Morrow.

Kate le suivi du regard puis tourna la tête vers le bureau vide de son ami.
Non, cela n’est vraiment pas normal…

La suite !!!

euh............non

Saleté !!! S'il te plaît !!!! si je fais ma mine de chien battu ça marche ???

Ariane ça sert a rien elle te voie PAS!!! STP sois pas sadique STP !!!

LA SUITE

Danny se massa la nuque et bailla bruyamment.

Martin : Fatigué Danny ?
Danny : Mm mm....
Vivian : Une bonne affaire devrait te réveiller !
Danny : Oh ! On ne pourrait pas prolonger notre week-end pour une fois ?!
Sam : Désolé, Jack veut que l'on finisse la paperasse...
Elena : Ouais, génial...

Danny se tourna vers Samantha, un sourire malicieux sur les lèvres.

Danny, malicieux : Dis moi Sam, tu pourrais me faire une faveur ?
Sam, surprise : Comme quoi ?
Danny : Oh ! Juste demander à ton mec de nous épargner de la montagne de paperasse...
Jack, arrivant : Son mec vous apporte du boulot justement...
Danny : Ah...euh…salut Jack ! Belle journée non ?
Jack, souriant : Te fatigue pas.

Il fit un clin d’œil à Sam, qui lui rendit. Vivian se surpris à penser que depuis qu’il était ensemble, depuis 2 ans, Jack se montrait plus flexible et un peu plus ouvert vis-à-vis de son équipe. En plus ils se mariaient le mois prochain, on ne pouvait pas rêver mieux. Vivian savait également que Jack aurait un cadeau spécial de la part de sa future femme.

Jack : Bien, passons aux choses sérieuses !

Il accrocha la photo au tableau et fit les présentations.

Jack : Anthony Dinozzo, 35 ans, agent spécial du NCIS, disparu vendredi soir vers 21h00, alors qu’il sortait du bureau. Les dernières personnes à l’avoir vu sont ses collègues.

Il y eu un silence d’environ trente secondes puis Martin décida de rompre le silence.

Martin : NCIS ? Ca veut dire qu’on file à Washington…
Jack : Exactement on sera reçu là-bas par les collègues du disparu, qui ont absolument insisté pour participer à l’enquête.

Tout le monde perçu l’énervement dans sa voix. Jack ne travaillais qu’avec son équipe, et lorsqu’on lui imposait une collaboration il fallait s’attendre à subir sa mauvaise humeur durant toute l’enquête.

Elena : On part quand ?
Jack : Dans une demi-heure environ. Prenez des affaires pour une semaine au moins, on ne sait jamais…
Vivian : On y va comment ?
Jack : Ils nous ont envoyés un jet.

Sans un mot de plus ils sortirent de la salle à l’exception de Jack et Samantha. Il était devant le tableau les mains dans les poches et les sourcils froncés. La jeune femme vint se blottir dans ses bras.

Jack : Je déteste les collaborations.
Sam : Je sais. Mais au moins tu seras avec moi.

Jack la regarda en souriant tendrement.

Jack : Ce n’est pas faux. Je t’aime.

Sam l’embrassa et ils prirent le même chemin que leurs collègues précédemment.

Cool ! La suite !!

Gibbs venait de s’assoir à son bureau furieux expliquant au passage qu’on leur envoyer des renforts.

Abby, surprise : Et tu as accepté ça ?
Gibbs, furieux : Je n’ai pas vraiment eu le choix Abby ! Tu sais très bien ce que je pense des collaborations !
Kate : Et ils arrivent quand ?
Gibbs, furieux : Dans une heure.
Kate, levant les yeux au ciel : Super ! Plus qu’une heure a respiré !
Gibbs, furieux : Ca ne me plait pas non plus Kate ! Alors pas besoin de remuer le couteau dans la plaie !
Kate, criant : C’est bon Gibbs ! Lâche-moi !

Elle se leva et s’engouffra à toute vitesse dans l’ascenseur. Gibbs était abasourdi. Personne ne lui avait jamais parlé comme ça, pas même Kate.

Abby, hésitante : Gibbs, elle est sous le choc, elle ne pensait pas…
Gibbs, la coupant : Kate savait parfaitement ce qu’elle disait, Abby.

Il se leva à son tour pour suivre les pas de Kate. Ces amis le regardèrent disparaitre derrière les portes de l’ascenseur. Abby fit la grimace.

Abby : J’espère que Kate va se calmer lorsqu’elle verra Gibbs, sinon sa va faire des étincelles !
Ducky : Si cela peut te rassurer ma chère je te garantie que Jethro ne fera rien à part la consoler.
Abby : C’est pour lui que je suis inquiète Ducky. Patron ou pas patron, Kate est tout a fait capable de le massacrer !
Ducky, souriant : C’est fort probable connaissant Caitlin…

Il déposa une main rassurante sur l’épaule de la gothique.

Ducky, sérieux : Fais leur confiance.


Gibbs ne pénétra pas tout de suite dans la salle de repos. Kate lui tournait le dos en buvant un café, regardant par la fenêtre. Il contempla sa chevelure brune, puis ses yeux descendirent jusqu'à sa taille pour finalement s’arrêter au niveau des ses fesses. Il sourit au souvenir d’une discussion avec Tony.

Flashback

Tony venait de recevoir une claque derrière la tête. Claque justifiée puisqu’il embêter Kate une fois de plus. Les portes de l’ascenseur venaient de refermer sur elle.

Tony : Aie ! Ca fait mal patron !
Gibbs : J’espère bien ! Arrête un peu ! Kate a eu une dure journée et n’a pas besoin d’entendre en plus tes imbécilités !
Tony : Très bien, très bien. Au fait pourquoi je suis le seul à me prendre des claques ici ! Kate a aurais bien besoin quelques fois !
Gibbs : Oui mais Kate n’est pas toi ! C’est…différent…
Tony, souriant : Ah c’est sur ! Pour quelqu’un qui mate son cul c’est différent !
Gibbs : Je ne mate pas le cul de Kate, Tony !
Tony : Oh que si tu le mate !

Gibbs lui asséna une nouvelle claque.

Fin du flashback

Gibbs soupira et entra dans la salle de repos. Kate ne se retourna pas. Elle savait que c’était lui et s’était vraiment la dernière personne à qui elle voulait parler à cet instant.
Non, il n’étai pas responsable de la disparition de Tony, mais elle devait passer ses nerfs sur quelqu’un et s’était tombé sur Gibbs. Ce dernier c’était servi un café et était venu se placer à coté de sa collègue, face à la vitre.
S’il croit que je vais ouvrir la bouche, il se met le doigt dans l’œil.
Gibbs termina son café et jeta le gobelet dans la corbeille.

Gibbs : Kate ?
Kate : …
Gibbs : Katie ?

La jeune femme fut parcourue d’un frisson. Elle adorait quand il l’appelait ainsi. Malgré elle, Kate tourna la tête vers son patron.

Gibbs : Dis moi ce qui ne va pas.

Kate sentit sa colère atteindre son point culminant. Elle allait évacuer ça tout de suite, sur Gibbs, et il ne pourrait rien contre elle.

Kate, criant : Tu veux vraiment savoir ce qui ne va pas Gibbs ?! Je vais te le dire : mon meilleur ami a disparu et je ne peux rien faire à part attendre de foutu agent du FBI, qui ne connaissent pas Tony ! En plus de ça mon patron est encore une fois de mauvaise humeur et il passe sa colère sur ces employés, mais bon ça c’est la routine ! Cet homme qui n’a aucun cœur doit bien se réjouir de la non-présence de Tony ! « Pour une fois qu’il n’est pas là pour me casser les pieds » doit-il se dire ! Et pour finir cet idiot me demande de lui dire ce qui ne va pas alors qu’il ne pense qu’a sa petite personne !

XD !!!!!!!! J'adore quand y'a des ambiances comme ça ! ^^ La suite pliiiiz ^^

Avant de mettre la suite, deux petites question :

Comment Gibbs va reagir a la tirade de Kate ?

Comment va se passer la rencontre entre Gibbs et Jack (amicale, etc...) ?


Moi j'ai déja la réponse à ses questions c'est juste pour voir ce que j'aurais pu imaginer...

henirrep a écrit:

Avant de mettre la suite, deux petites question :

Comment Gibbs va reagir a la tirade de Kate ?

Comment va se passer la rencontre entre Gibbs et Jack (amicale, etc...) ?


Moi j'ai déja la réponse à ses questions c'est juste pour voir ce que j'aurais pu imaginer...

Je pence que Gibbs va très mal réagir !!!^^ et G/J (avec leur sale caractère!!!^^) début très moyen puis mieux ???

Oh oui, Gibbs/Jack, hum hum ça va péter... ^^ mais peut-être un peu moins que ce qu'on croit si on suis l'hypothèse qui suit...
En ce qui concerne Gibbs à propos de la tirade de Kate, je suppose que ça va le faire un peu réfléchir sur son attitude envers ses collègues et la collabo' donc puisque l'équipe de Jack et celle de Gibbs vont "devenir des collègues" quelques temps...

Maintenant... I wait and I see... ^^

Alors je m'attendais un peu a ses reactions...je crois que la rencontre Gibbs/Jack va vous surprendre...
La suite mercredi !

Kate jeta rageusement son gobelet vide dans la corbeille. Les larmes aux yeux, elle baissa la tête refusant de croiser son regard.
Il n’avait pas dit un mot, pourtant, toute une série de réplique lui avait traversé l’esprit. Répliques qu’il aurait pu servir à n’importe qui. Mais c’était ça le hic. Pour lui Kate n’était pas n’importe qui. Il s’approcha d’elle et plaça sa main sous son menton de sorte qu’elle relève la tête.

Gibbs : Ecoute-moi Kate. Tony compte pour moi autant que toi, Abby, Ducky ou McGee. A chaque fois que l’un de vous c’est trouvé en mauvaise posture j’ai eu peur, et là, crois moi si tu veux, mais j’ai…j’ai vraiment la trouille pour Tony. Vous êtes une famille pour moi, n’en doute jamais.

Les larmes avaient finalement coulé sur le visage de Kate, qui ne pouvait plus les retenir. Avant qu’elle ait pu comprendre ce qui se passait-elle se retrouva dans les bras de son patron, qui l’entoura d’un geste protecteur. Elle laissa sa tête reposer sur son torse et ferma les yeux.

Kate, chuchotant : S’il-te-plait, dis-moi que tu va le retrouver.
Gibbs : On va le retrouver Kate. On va le retrouver.

Ils restèrent ainsi, chacun dans les bras de l’autre pendant un moment. Kate appréciait l’étreinte de Gibbs, et ce dernier se sentait merveilleusement bien et alla même jusqu'à lui caresser les cheveux. Mais toute bonne chose à une fin ! Gibbs s’écarta un peu de Kate.

Gibbs : Ils vont bientôt arriver maintenant, il faut que l’on remonte.
Kate : D’accord.

Pourtant après ses paroles aucun d’eux ne bougea. Le regard de Kate verrouillé dans celui de Gibbs. Soudain elle cru voir une flamme s’allumer dans le bleu azur de ses pupilles et pu y lire de l’envie et du désir. Il avait certainement lu la surprise sur le visage de Kate car il détourna les yeux et sortit de la salle sans un mot. La jeune femme se demanda s’il elle n’avait pas rêvé. Le rattrapant elle s’engouffra dans l’ascenseur juste avant que les portes ne se referment

Gibbs : Ils ne devraient plus tardez
Kate : Quel accueil vas tu leur réservé ?
Gibbs : Je ne sais pas encore, je me déciderais d’après leur tête…

Kate sourit et sortit de l’ascenseur qui était arrivé à l’étage. Leurs amis n’avaient pas bougés. Lorsqu’Abby les vit arriver, elle leur adressa un grand sourire.

Abby : Je respire mieux, vous ne vous êtes pas entretués !
Gibbs, haussant les sourcils : Explique-moi pourquoi on aurait fait ça ?
Abby, souriant : Oh ! Pour rien !
McGee : Patron les agents du FBI arrivent dans un quart d’heure.

Gibbs soupira et s’assit à son bureau.

Gibbs : Je déteste les collaborations.

Aucun d’eux n’eu l’imbécilité de répondre. Ils discutèrent de choses et d’autres, Abby, Kate et McGee essayant de retenir Ducky avec ses histoires…

Gibbs regarda finalement sa montre et fronça les sourcils.

Gibbs : Ils ont dix minutes de retard !
Jack : Oui nous sommes en retard sa pose un problème ?

Gibbs leva brusquement la tête. Cette voix…
Il se figea à la vue de Jack, puis se repris et vint se poster devant son interlocuteur.

Gibbs, criant : Oui sa pose un problème ! Je déteste les retardataires !
Jack, criant : Je le sais ! Mais vaut mieux tard que jamais ! Tu devrais être content d’avoir des renforts !
Gibbs, criant : Content ?! Tu plaisante ?! Un bon à rien comme toi ! On engage vraiment n’importe qui au FBI de nos jours ! Je ne vais jamais le revoir mon agent !
Jack, criant : Tu sais ce qu’il te dit le bon à rien !?
Gibbs, criant : Vas-y je suis tout ouïe !
Jack, criant : Il te dit que ton agent Dinozzo, il va le retrouver avant que tu aie le temps de dire ouf !
Gibbs, criant : Autre chose à ajouter avant que tu ne reçoives mon poing dans la figure ?!
Jack, criant : Oui ! Va prendre un café ! Je te trouve bien mou ! Tu manque de caféine, Jethro !

Gibbs ouvrit la bouche de stupeur, puis éclata de rire.

Gibbs, riant : Touché !
Jack, riant : Coulé même ! C’est bien la première fois que tu reste sans voix !
Gibbs, riant : Le manque de café doit y être pour quelque chose ! Je n’en ai pris que six depuis ce matin !

Jack ne pouvant plus se retenir, pris Gibbs dans ses bras pour une étreinte plus fraternelle qu’amicale, devant l’incompréhension totale de leurs amis. Les agents de Gibbs avait suivi l’échange de loin sachant qu’il valait mieux ne pas se trouver sur le terrain lorsque la tornade était lancé. Quand aux agents de Jack, ils avaient seulement espéré qu’il n’aurait pas à les séparer, au cas où Jack perdait le contrôle de ses membres. Et maintenant, ils affichaient tous la même expression d’incrédulité.

Abby : Es-ce que l’un de vous deux…
Danny : …pourrais nous donner…
Kate : …des explications ?

Gibbs et Jack éclatèrent de rire face à leurs agents.

Gibbs : Jack et moi, sommes de vieux amis, du temps ou il était dans l’armée et moi dans les marines.
Jack : Et pour info, la…joute verbale est une sorte de…tradition pour nous…
Vivian, horrifiée : Et on va avoir droit a ça tout les matins ?!
Jack, riant : Non, non rassure toi.

Puis voyant les mines soulagés de ses amis.

Jack : Vous pensiez vraiment que j’allais le tuer ?
Samantha : Honnêtement : oui !

Jack ria et fit les présentations.

Jack : Alors voici Danny, Martin, Elena, Vivian et enfin Samantha, ma future femme…

Gibbs salua l’équipe, son regard s’attardant un instant sur Sam avant de se concentrer sur Jack, avec une mine à la fois souriante et contrariée.

Jack : Quoi ?
Gibbs : Rien, rien…Voici McGee, notre génie en informatique, Abby, notre petit rat de laboratoire et enfin Kate, qui a déjà assuré la sécurité de notre cher président. Et puis j’espère que vous aurez la chance de connaitre Tony…
Jack, posant une main sur l’épaule de Gibbs : Moi aussi c’est pour ça que l’on va s’y mettre tout de suite !
Gibbs : Très bien ! Alors première étape aller voir Morrow…

Les agents regardèrent, leurs supérieurs respectifs disparaitre, derrière la porte du bureau du directeur, et se regardèrent tous la figure encore marquée par la surprise.
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Et vous ? surpris aussi ?

A suivre...

Oh oui surprise !!! ^^ J'adore le "jeu" entre Gibbs et Jack ! La suite !!

Vraiment surpris!! En tous cas pour ma part!!! J'aime beaucoup ta fic et j'ai hâte d'avoir la suite!!

Voila!! Aler vite la suite!!!!!

pour le "jeu" j'ai été inspirée par moi-même et ma meilleure pote, pasque c'est notre joute habituelle quand on s'est pas vue pendant pas mal de temps...et contrairement a Gibbs et Jack notre duel peut durer un bon quart d'heure...et oui on a la repartie facile dans le nord...

Lol !

Abby : Wouaou ! C'est moi ou Gibbs vient de retrouver un frère ?
Ducky : Non, non je te rassure ma chère Abigail, ce n'est pas toi.

Danny : Petite question. Certainement idiote mais bon qui ne tente rien n'a rien : Quelqu'un a déjà vu Jack comme ça ?
Vivian : Non.
Sam : Jamais.

Ils se regardèrent puis Kate rompis le silence en souriant.

Kate : Ok, voila ce qu'on va faire : vous nous parlez de Jack, on vous parle de Gibbs.

Les agents du FBI se regardèrent et Martin débuta.

Martin : Alors : Jack est quelqu’un d’assez cynique…
Elena : …qui déteste se faire commander…
Vivian : …il arrive qu’il s’énerve pour un rien et…
Danny : …et ça nous tombe dessus, mais à part ça c’est…
Sam : …quelqu’un de vraiment charmant !

Les collègues de Gibbs échangèrent des sourires complices.

Vivian : Il ya un problème ?
Ducky : C’est juste que vous venez de faire une description parfaite de Jethro !
McGee : Hum, pas tout à fait il faut ajouter les claques sur la tête…
Abby : …les cafés…
Kate : …et les règles !

En haut des escaliers, Gibbs et Jack écoutaient leurs collègues faire connaissance en se réjouissant qu’ils s’entendent aussi bien.
A l’évocation des règles par Kate, Jack sourit.

Jack : Encore et toujours ces règles, n’est-ce pas !
Gibbs, regardant Kate : Mmmm
Jack, remarquant son regard : Et tu ne regrette pas d’avoir inventé la numéro 12 à présent ?
Gibbs, surpris : Pourquoi ?
Jack : Je parle de Kate.
Gibbs : Comme tu viens si justement de le dire, règle numéro 12. C’est pour cela que l’agent Todd est et restera une collègue.

L’agent Todd...Comme il détestait l’appeler comme ca !

Jack : Regarde-moi avec Sam, et tu comprendras que ta règle n’en vaut pas la peine !
Gibbs, fuyant son regard : On doit descendre.

Jack secoua la tête et le suivit.


Vivian s’occupait à présent du tableau qu’on leur avait apporté. Il était désormais écrit : Vendredi 5 mars -22h- Quitte les bureaux du NCIS.
Kate fixait la photo de son ami accrochée au tableau.

Kate : J’ai vraiment du mal à croire que l’on parle de Tony.

A peine avait-elle finit sa phrase qu’une main chaleureuse se posa sur son épaule et exerça une légère pression. Ce n’était pas grand-chose mais cela suffisait pour la rassurer. C’était sa façon de lui dire qu’il était la pour elle, chose qui ne sortirait jamais de sa bouche…

Gibbs savait qu’elle ne se retournerait pas et ce n’était pas plus mal. Si jamais elle c’était tourné et avait plongé son regard dans le sien, il ne savait pas si il aurait pu rester impassible…L’émotion de voir la femme qu’il aimait dans un profond désarroi probablement…
Il lâcha finalement son épaule et se dirigea vers son bureau pour prendre son arme.

Jack : Danny et Martin : je veux la liste de tous les condamnés qui serait susceptible d’en vouloir à l’agent Dinozzo.
Martin : Mais…ils sont au moins 500 !
Gibbs : C’est pour ça qu’il faut s’y mettre tout de suite...
Jack : Elena et Vivian vous vous occupez des relevez téléphoniques. Sam tu viens avec moi.
Gibbs : McGee vous me rechercher toutes les infos possibles sur Dinozzo, je veux tout savoir de sa marque de dentifrice à son dernier retard au bureau ! Kate tu viens avec nous ! On va chez Tony !
McGee : Euh…patron…on n’a pas encore eu de mandat pour ça…

Gibbs et Jack échangèrent un regard amusé puis regardèrent McGee.

Gibbs & Jack : Et alors !?

J'adore grave ! Mdr !!! La suite !!!

A lala j'avais pas encore lu les retrouvailles j'adore !!!