Heart broken [Complète]

Bureau du FBI - 17h30 :
Samantha était installée à son bureau, devant son ordinateur : elle s'ennuyait visiblement . Ces temps-ci, le bureau se faisait vide. Aucun enlèvement n'était signalé depuis plus d'une semaine. Jack arriva dans son dos.

JACK : Toujours rien ?
SAM : Toujours rien.
JACK : On peut pas dire qu'on est surmontés de travail.
SAM, soupir : Ca commence même de devenir rasoir de venir bosser.
JACK : A ce point ?
SAM, en désignant une feuille blanche : Si tu me crois pas, regarde ce que j'ai fait depuis ce matin. Et encore, je suis arrivée à la bourre.
JACK : Si je traduis, ça donne "rien".
SAM : Rien exact.
JACK : Si tu veux, tu peux y aller.
SAM : Non je suis solidaire, je finis le service ! Les autres sont déjà partis ?
JACK, en regardant sa montre : Oui. Depuis...dix minutes. Tu veux boire quelque chose ?
SAM : Oh un café.
JACK : Je vais chercher ça.

Jack s'éloigna vers la machine à café. Il en prépara deux et retourna vers sa collègue : elle était en train de décrocher son téléphone.

SAM, en grifonnant sur une feuille : Spade ?...D'accord, vous pouvez vous déplacer ?...Bon, très bien, où est-ce que vous habitez ?...D'accord, restez calme surtout. A tout à l'heure.

Samantha raccrocha.

SAM : Il a suffit que tu me proposes quelque chose pour qu'on aie une affaire ! Bien joué Jack !
JACK, en lui tendant une tasse : Bien sûr, je porte toujours chance ! Au moins tu t'embêteras plus.
SAM : Ouais.
JACK, après avoir bu une gorgé : Alors, ça se présente comment ?
SAM : On a volé une voiture sur la deuxième avenue, devant la maison de sa propriétaire. Elle passait en coup de vent et son gamin était dedans. Quand elle est redescendue, la voiture envolée et le gamin pareil.
JACK : Eh ben. Aller, on y va !

Jack posa sa tasse, récupéra son manteau et partit devant l'ascenseur. Samantha l'imita.

Deuxième avenue - 18h10 - Disparu depuis 40 minutes :

Jack et Samantha claquèrent leurs portières. Ils sonnèrent à la porte. Une jeune femme brune, aux paupières rougies par les sanglots, leur ouvrit.

SAM : Madame Cindy Laurence ?
CINDY, en passant ses mains sur ses yeux : Oui.
JACK, en sortant son badge : FBI, je sui l'agent Malone et voici l'agent Spade. Nous pouvons entrer ?
CINDY, en se sortant du passage : Bien sûr allez-y.

Les agents passèrent la porte.

JACK, en sortant son bloc-note : J'aurais besoin de la description de votre voiture ainsi que du numéro de la plaque.
CINDY : Une golf bleue marine, immatriculée OFE - 7195 dans l'état de New-York.
SAM : Nous aurions aussi besoin d'une photo de votre fils. Une où on voit plutôt bien son visage.
CINDY : D'accord, je vais vous chercher ça.
SAM : Merci.

La jeune femme brune s'éloigna.

JACK, bas à Samantha : Va voir si tu trouves pas quelque chose dans la maison.
SAM, bas à Jack : Ok.

Samantha suivit la même direction que Cindy.

SAM : Excusez-moi, où se trouvent les toilettes ?
CINDY : Au fond du couloir la dernière porte à gauche.
SAM, en s'éloignant : Merci.

Samantha partit lentement dans la direction indiquée par Madame Laurence. Mais au lieu de partir dans les toilettes, elle s'arrêta dans la chambre du petit garçon : il s'appelait Jessy. Elle fit mine de continuer son chemin quand Cindy sortit du salon pour retourner dans la pièce où Jack attendait. Elle passa la porte et balaya du regard la pièce. Elle s'avança dans la pièce et s'arrêta devant le bureau : un seul cahier semblait abandonné au milieu des stylos éparpillés sur le meuble. "On va savoir en quelle classe tu es Jessy." pensa Samantha en ouvrant le cahier. Ce n'était pas marqué sur la première page. Elle le feuilleta donc. Au fur et à mesure qu'elle avançait dans le cahier, l'écriture se faisait de plus en plus lisible. Elle en déduisit donc que Jessy appartenait à une classe de CP. Il avait donc entre cinq et sept ans.
Cindy se demandait ce que trafiquait Samantha.

CINDY : Je me demande pourquoi elle est si longue votre collègue.
JACK, mal à l'aise : Euh, cette nuit elle a eu un petit souci. Je suppose qu'elle doit se reprendre.
CINDY : Si vous le dites.

Samantha revint quelques minutes plus tard.

SAM : Excusez-moi d'avoir été si longue.
CINDY : Ce n'est pas grave Mademoiselle.
JACK : Bon, moi je t'attendais. On y va.
CINDY : Je peux venir avec vous ?
SAM : Je vous conseillerais de venir avec votre mari demain. Ce soir, ça m'étonnerait qu'on aie le temps de trouver beaucoup de choses.
CINDY : Si vous pensez que c'est mieux.

Jack et Samantha sortirent de la maison.

JACK : Génial ta technique pour empêcher les gens de venir nous embêter au bureau.
SAM : Tu voulais que je fasse quoi d'autre !?
JACK : Rien. Je voulais surtout que tu le fasses à ma place.
SAM : T'as été servi comme ça. Je l'ai fait toute seule, comme une grande.

Jack esquissa un sourire. Les agents montèrent dans la voiture et démarrèrent pour retourner au bureau.
*****
classe de CP je sais plus comment ça s'appelle au US, si on peut éclairer ma lanterne ! ^^

1th grade

La suite!!!!!

Bureau du FBI - 18h40 - Disparu depuis 1h10 :

Samantha et Jack remontèrent dans les locaux. Samantha s'arrêta devant le tableau blanc et y pendit la photo de Jessy. Elle s’installa devant son ordinateur et tapa tranquillement l’avis de recherche du petit garçon. Jack arriva dans son dos.

JACK : J’ai rappelé les autres. Ils vont arriver.
SAM : Ok. Elle t’a parlé de son mari ?
JACK : Très peu. J’ai quand même déniché son prénom pour éviter quon piétine.
SAM : Ok. Envoie.
JACK : Gregory Laurence. Mais bon, le nom de famille tu devais t’en douter !
SAM : En effet, léger.

Samantha rentra le nom du père de Jessy.

SAM : Au moins, on sait à quoi il ressemble. J’avoue que sa tête me revient pas.
JACK : Moi non plus. Enfin bref.
SAM : Qu’est-ce que je fais maintenant ?
JACK, en lui tendant un bout de papier où il avait indiqué la description de la voiture : Tu me passes un avis de recherche pour la golf.
SAM : Ok.

Crève crève crève (moi sadique à peine!!! mdr) La suite!!!!!

J'en suis pas là !
*****
Samantha s’éxécuta. Le temps de mettre en ligne la requête de Jack, elle décida de jeter un oeil au profil du père du petit garçon.

JACK, en lisant par dessus l’épaule de Samantha : Casier vierge, remarque pour sa tête, ça me surprend !
SAM : Moi aussi.
JACK : Vérifie quand même si il existait l’année où il est venu au monde. On sait jamais.
SAM : Deviendrais-tu méfiant ?
JACK : Ce type m’inspire pas confiance.
SAM : D’accord, d’accord ! Je te cherche tout ça !

Samantha rechercha les antécédents dans les fichiers de l’état de New York mais elle ne trouva rien.

JACK : Je l’avais dit !
SAM, en recherchant la même chose mais cette fois au plan national : Il est peut-être d’un autre état.
JACK : Possible.

Samantha attendit que sa base de données lui réponde. Elle obtint quatre réponses.

SAM : Eh ben tu vois !
JACK : Tire pas de conclusion trop attive Sam.
SAM, soupir : Si tu le dis.

Elle ouvrit une à une les réponses.

SAM, en cliquant sur la dernière ligne : La dernière sera la bonne !
JACK : Pas sûr.

La photo qui apparaissait était différente de celle du père de Jessy.

JACK : Je te l’avais dit. Fais la même chose avec sa mère. Si lui il n’existait pas, il est probable qu’elle non plus.

Je sais...... mdr *crève crève crève mdr* La suite!!!!


H.S: je t'ai dit que j'avais abandonné mariage forcé??

jacksam4eva a écrit:

H.S: je t'ai dit que j'avais abandonné mariage forcé??

Nop ! ^^

bah maintenant oui!!

Je te dirais que moi je la recommence mais à contre coeur enfin bref !
*****
Jack partit dans son bureau. Samantha s’éxécuta. Sa page s’affichait quand Danny arriva, dans son dos.

DANNY : Rebonjour !
SAM, surprise et agacée : Qu’est-ce que vous avez tous aujourd’hui à arriver derrière moi sans me prévenir !
DANNY : Charmant accueil ! Si tu veux je repars !
SAM : Non, reste-là ! Je risque d’avoir besoin de tes services.
DANNY : Bien sûr. Mais si tu veux que je t’aide, mets-moi au courant de ce qui se passe ici.
SAM : Si t’insistes, je vais faire court. Jessy Laurence, six ans, disparu quand on volé la voiture de sa mère qui passait en coup de vent à la maison. Et on a un souci, c’est que son père existe maintenant mais, l’année où il dit être né, il n’existe pas dans les fichiers.
DANNY : Immigré, t’as regardé dans celui des immigrés ?
SAM : Pas encore. Et vu que t’as eu l’idée, tu t’y colles.
DANNY : Si je dis que tu es d‘une injustice épouvantable, tu fais quoi ?
SAM : Hum, je te laisse te débrouiller avec toute la paperasse. Je dis bien toute.
DANNY : D’accord, déjà que j’en ai pas mal à faire, je ne dirais rien.

Danny s’installa devant son ordinateur et rechercha dans les fichiers des immigrés qui avaient quitté leurs pays depuis plus de dix ans.

DANNY : Sam, j’ai un monsieur Laurence comme le petit. Viens voir si c’est lui.
SAM, en tournant sur son siège : J’arrive.

Elle se leva.

SAM : Alors, montre-moi ça.
DANNY, en cliquant sur sa ligne : Et voilà.
SAM, en observant la photo : Bon, tu nous l’as trouvé. Tu vois c’était pas si dur.
DANNY : Ca m’a crevé tu peux pas savoir, taper sur un clavier et faire des cliques avec une souris. Je suis épuisé.
SAM : Eh ben tu te reposeras quand on aura retrouvé le gosse.

Jack arriva dans leurs dos.

JACK : Alors on avance ?
SAM : Bon je vais me mettre face à tout le monde là c’est plus possible !
DANNY : Oui, on avance. J’ai trouvé votre type.
JACK : Alors ?
DANNY : Pas étonnant que vous le trouviez pas dans les fichiers des Etats-Unis. C’est un immigré du Mexique. Il est arrivé en 1985. Mais, il est tout ce qu’il y a de plus clean à priori.
JACK : Oui à priori. Regarde quand même en détails.
DANNY : Ok.
SAM : Et moi je fais quoi ?
JACK : Tu continues de regarder le profil de sa mère.
SAM : D’accord.

Jack s’éloigna dans son bureau. Un peu plus tard, Martin arriva à son tour.

MARTIN : Salut.
DANNY : Salut. Sam, depuis tout à l’heure, t’as quelque chose ?
SAM : Non. Et toi ?
DANNY : Euh, oui. Je suis en train de regarder l’emploi du père et j’en trouve pas. Mais quand je regarde les relevés bancaires, je constate que tous les mois, j’ai la même somme qui tombe.
SAM : Combien ?
DANNY : 150 dollars.
MARTIN : Travail au noir ?
DANNY : Ca pourrait.
SAM : Et tu sais qui verse ?
DANNY, en pianotant sur son clavier : Je vais te dire ça...John Smith.
SAM : Adresse ?
DANNY : Ah ! Dans le Wyoming, en plein dans les Rocheuses.
MARTIN : On va pas aller jusque là-bas ?
DANNY : J’ai bien peur que si.
SAM : A part ça sur les relevés rien d’autre ?
DANNY : Si, j’ai une somme qui part toutes les semaines.
SAM : Combien cette fois ?
DANNY : Ouch ! Ca doit faire mal ça !
SAM : Pourquoi ?
DANNY : C’est exactement 150 dollars.
SAM : C’est clair, il les gagne pour un mois de boulot et il les reverse toutes les semaines !
MARTIN : Si c’est un immigré, ça m’étonnerait pas que ça soit le passeur qui les récupère.
DANNY : Ouais. Et j’imagine pas si il est passé avec 2 000 dollars.
MARTIN : Ca dure depuis combien de temps ce manège ?
DANNY : Euh, le premier versement à eu lieu il y a un mois.
SAM : Il est attribué à qui ?
DANNY : J’en sais rien, je peux pas y accéder. C’est à l’étranger.
MARTIN : Bon. J’vais voir ce que je trouve sur John Smith. Il a peut-être un atelier à New York.
SAM : Ca m’étonnerait que tu le trouve mais tu peux essayer.
DANNY : Je vais prévenir Jack.

Danny se leva de son bureau et partit dans la direction de celui de Jack tandis que Samantha et Martin continuaient leurs recherches.

Wyoming - Maison de John Smith - 8h40 - Disparu depuis 15h10 :

Martin et Danny avaient voyager toute la nuit en avion. Ils se posèrent à une quarantaine de kilomètres au sud de l’adresse de Monsieur Smith. Jack avait donner les recherches que Danny et Martin effectuaient à Elena et Vivian.

MARTIN : Dans combien de temps tu penses qu’on va arriver chez lui ?
DANNY : Aucune idée. Mais j’espère seulement que c’est pas dans un trou pommé où on a pas de réseau.
MARTIN : C’est déjà un trou pommé ici. N’empêche, quelle idée de venir s’installer en plein dans les Rocheuses !
DANNY, en souriant : T’as moins de chance que des gars du FBI viennent fouiller chez toi et s’intéressent à tes magouilles. Pourtant, c’est ce qu’on fait. Mais ça dans l’intérêt d’un gamin.

Les agents montèrent dans le 4x4 qui devait les conduir jusqu’à destination. Il ne purent pas aller jusqu’à la maison en voiture car le sentier devanait trop dangereux pour passer. Ils durent finir à pied.

DANNY : Quelle poisse !
MARTIN : Mais non ! Un peu d’exercice fait de mal à personne ! Depuis une semaine qu’on en faisait pas !
DANNY : Je me demande même si je préfèrerais pas être à la place des autres.
MARTIN : Mais non, on est bien dehors. On cuit pas trop encore.
DANNY : Ouais, parce que c’est le matin.
MARTIN : Et ben on bougera pour repartir d’ici dans le matin. Ou au moins redescendre.
DANNY : Ouais. Je pencherai plus pour redescendre. Parce que même si on pouvait repartir, Jack voudrais sûrement qu’on reste fouiner par là.
MARTIN : T’as raison.
DANNY : Faut réfléchir Martin.

Danny et Martin avaient bien avancé. Ils n’étaient plus qu’à une centaine de mètres de la maison.

Faut pas me laisser comme ça !!!!

J'aime beaucoup la suite ste plait...

Ils s’avancèrent sous le porche. Danny sortit son téléphone pour vérifier si il avait du réseau : aucune barre ne s’affichait.

DANNY : Génial, ils pourront pas nous appeler et vice-versa.
MARTIN, en regardant le sien : Mais si, sur mon portable ils pourront nous appeler.
DANNY : Temps mieux, je déteste être coupé du monde d’aujourd’hui. Pas de technologie, rien. C’est plutôt problématique pour nous.
MARTIN : Tu vas frapper à la porte ou c’est moi qui le fait au lieu de faire ton monologue.

Danny sourit et frappa à la porte. Un homme âgé d’une quarantaine d’année vint ouvrir.

DANNY : Monsieur John Smith ?
JOHN : Oui. C’est à quel sujet ?
MARTIN, son badge à la main : FBI, agents Fitzgerald et Taylor.
JOHN, froid : Qu’est-ce que vous me voulez ?
DANNY : Vous parlez de Monsieur Laurence, Gregory Laurence.
JOHN : Et alors ?
MARTIN : Dites-moi, on peut entrer ?
JOHN, à contre-coeur : Allez-y.

Les trois hommes s’engouffrèrent dans la maison. Ils se dirigèrent dans le salon.

DANNY : Bien, Nous savons que tous les mois vous lui versez 150 dollars.
JOHN : Oui, c’est exact.
DANNY, en sortant son bloc-notes de sa poche : Pourquoi ?
JOHN : Je suis obligé de répondre ?
MARTIN : Ca vaudrait mieux, sinon on risque de devoir vous embarquer avec nous à New York.
JOHN : Mais qu’est-ce que vous cherchez ?
MARTIN : Son fils.

Martin sentit son téléphone vibrer. Il s’excusa et s’éloigna.

MARTIN, au téléphone : Fitzgerald ?
ELENA : Salut, on a retrouvé la voiture, vide.
MARTIN : Où ça ?
ELENA : Dans l’Ohio.
MARTIN : Elle était orientée dans quelle direction ?
ELENA : On suppose qu’elle allait vers l’Ouest. Peut-être dans le Wyoming.
MARTIN : Non, je pense pas. Ils l’auraient pas laissée dans l’Ohio si ils avaient voulu venir dans le Wyoming. Ils l’auraient laissée dans New-York et ils auraient pris un billet d’avion.
ELENA : Tu penses à quoi alors ?
MARTIN : Peut-être au passeur du père du gosse.
ELENA : Ca se pourrait.
MARTIN : Vous avez quelque chose de ce côté là ?
ELENA : Non, le père devrait arriver avec sa femme pour nous en dire plus.
MARTIN : Ok.
ELENA : Et vous, ça avance un peu ?
MARTIN : Pas encore. On vient juste d’entrer dans la maison de Smith. Plutîot coopératif d’ailleurs. Enfin, je vais quand même jeter un oeil par-ci par-là.
ELENA : Ok. Tu nous rappelles quand vous avez quelque chose.
MARTIN : Ouais.

Martin raccrocha et retourna vers son collègue.

retrouve vite ton inspiration j'aime pas rester sur ma faim ! lol !!

En plus quand on sait ce que tu vas faire après on est très impatient !!!

L'histoire est bien ficelé, une pointe d'humour a la hauteur des agents, j'adore, très bonne fiction, continue

DANNY : Donc, vous avez engagé Monsieur Laurence depuis un mois c’est ça ?
JOHN : Non, plus d’un mois.
DANNY, en prenant des notes : Il vous a donné une explication sur sa volonté d’être engagé ?
JOHN : Ecoutez je ne vois pas tellement en quoi mon entreprise peut vous aider à retrouver ce gamin.
DANNY, en lançant un regard à Martin pour qu’il aille traîner dans la propriété : Tout est important. Ecoutez, nous ce qu’on veut, c’est retrouvé cet enfant. Vos affaires personnelles sont secondaires. Si vous êtes réglo avec nous, on sera pareil. Par contre, si vous ne nous dites pas la vérité, nous pourrions regarder dans vos affaires.

Martin s’éloigna dans une autre pièce et commença de fouiller.

DANNY : Alors, je vous écoute.

John hésitait. Il se décida quand même de répondre.

JOHN, soupir : Il avait vraiment besoin de fric et les réponses pour ses embauchements potentiels traînaient.
DANNY : Il vous a dit pourquoi il avait besoin d’argent ?
JOHN : Non. J’ai quand même regardé son passé et j’ai rien trouvé de particulier.
DANNY : J’aurai besoin de l’adresse de l’atelier où il travaille.
JOHN, hésitant et en notant l’adresse : Euh, d’accord.
DANNY, en récupérant le papier : Vous avez embauché quelqu’un récemment dans cet atelier ?
JOHN : Vous savez, il n’y a pas que moi qui embauche.
DANNY : Qui ? J’aurai besoin de ces noms.
JOHN, en notant les noms : Vous pensez que ça pourrait avoir rapport avec les nouveaux employés ?
DANNY : Il se pourrait que son passé l’aie rattrapé.

Martin, de son côté, fouillait la maison. Il regardait dans les tiroirs de la cuisine. Il tomba sur un paquet de lettres. Il les regarda une à une avec la plus grande attention.

J'attend la suite j'aime beaucoup !!

Petite suite, j'ai pas tellement le temps pour l'instant ! ^^ Sûrement la suite de ça ce soir !
*****
Il en trouva une assez bizarre de la part de Gregory, demandant de bien vouloir engager un certain Tom Dirty. Martin appela Danny de la cuisine.

DANNY, en passant la porte : Alors, qu’est-ce que t’as trouvé ?
MARTIN : Tom Dirty s’est fait embauché il y a un mois a peu près. Gregory l’a recommandé. Et je suppose qu’ils doivent être dans le même atelier.
DANNY : Et alors ?
MARTIN : A ton tour de réfléchir, si il l’a recommandé, on a deux hypothèses. Soit c’est un ami, soit...
DANNY, en souriant : Soit c’est son passeur qui s’est débrouillé pour le trouver, le forcer à écrire cette lettre et qui le surveille 24 heures sur 24.
MARTIN, en riant : Très bien Taylor !
DANNY, en souriant : Très drôle. Bon, je vais aller lui parler de ça. Toi regarde si y’a pas comme de la drogue ou autre par là, au cas où il se braquerait.
MARTIN : T’inquiète pas, j’ai déjà de commencer ça. Ca donne quoi là-bas ?
DANNY : Euh, j’ai l’adresse de son atelier. D’ailleurs, il m’a dit qu’il était pas le seul à embaucher et j’ai les noms de ses “associés”. Tu passeras un coup de fil au bureau ou je m’en charge ?
MARTIN : Danny, réfléchis un moment veux-tu. Ton téléphone ne passe pas ! Je m’en occupe !
DANNY : Bien. J’y retourne.

la suite !!

oui la suite c'est quand tu veux que t'arrete de faire durer le suspense!!
Maintenant que je regarde et que j'aime bcp ecrit s'en plein !!

OMG j'étais pas là et maintenant il faut que je lise tout ça!!! OMG lol mais plus tard là il faut que je fasse ce "damn" devoir d'histoire géo puis que je joue au sims et aussi que fasse la nouvelle fic alors bon j'en ai pour un moment heureusement je vais pouvoir me ratraper vendredi c'est les vacs!!! heureusement!!

Ouais ! Toi ça y est t'es en vac's mais moi lundi.............RENTREE !!!!!!!!

Ah bah chacun son tour!!! mdr..... N'empêche que j'ai toujours pas eu le temps de lire enfin ça fais que un jour que je suis en vacs!!! Hier vendredi 13 maintenant je suis persuadée que ça porte malheur..... Enfin bref....

Grrrr
*****
Danny retourna dans le salon.

DANNY : Vous ne m’aviez pas dit que Gregory avait recommandé quelqu’un il y a un mois. Tom Dirty, hum ?
JOHN : Oui je...j’ai regardé encore les antécédents et je...j’ai laissé le cas à mon associé.
DANNY, en ressortant la liste de noms : Lequel ?
JOHN, soupir : Billy Laswell.
DANNY, en entourant le nom du type : Y aurait-il quelque chose d’autre que vous ne m’auriez pas dite ? Des renvois de personnes qui bossaient dans la même équipe que Gregory, ou d’autres choses.
JOHN : Je ne vois vraiment rien.
DANNY, en fixant son interlocuteur : Monsieur Smith, le moindre détail peut être très important. Alors dites-moi ce que vous savez.

Monsieur Smith resta d’un silence glacial. Danny n’insista pas. Il se leva et partit chercher Martin dans la maison.

MARTIN, en se retournant : Qu’est-ce qui t’amène ?
DANNY : J’ai besoin de ton portable.
MARTIN : Parce que ?
DANNY : Parce que j’ai un suspect en plus. Et il faudrait aussi qu’on ait un mendat pour fouiller ici.
MARTIN, en tendant son téléphone à Danny : No problemo.
DANNY, en récupérant le téléphone : Merci.

Il commença de s’éloigner. Il se retourna.

DANNY : Oh, tu voulais parler espagnol non ?
MARTIN : Euh oui, pourquoi ?
DANNY, en souriant : Alors c’est no problema !

Danny continua son chemin. Il composa le numéro de Samantha.

SAM : Spade ?
DANNY : Salut, c’est Danny. J’ai plusieurs pistes pour toi.
SAM : Vas-y dis-moi.
DANNY : Alors, un Tom Dirty et un Billy Laswell.
SAM : Qui sont ces messieurs ?
DANNY : Je commence par le plus simple ?
SAM : De toute façon ils y passeront tous les deux. Alors ?
DANNY : Billy Laswell, c’est le patron de l’atelier où bosse le père du gosse. Et il a engagé Tom Dirty qui s’est fait recommandé par Gregory.
SAM : Hum hum.
DANNY : Et on a deux solutions. Soit Tom Dirty est un ami ou un proche. Soit c’est le passeur de Gregory qui l’a forcé à le recommandé pour pouvoir le surveiller.
SAM : Ok. Ouais, tes hypothèses sont à confirmer je suppose.
DANNY : Ca serait gentil de faire ça ouais.
SAM : Ok. Je regarderai ça.
DANNY : Et vous, ça avance ?
SAM : Pas tellement. Enfin, bientôt ça devrait avancer. Le père vient d’arriver. Je te laisse.
DANNY : Ok.

Danny raccrocha.

Bureau du FBI - 9h10 - Disparu depuis 15h40 :

Vivian et Samantha discutaient dans le couloir avec les parents du petit garçon. Samantha, qui n’avait pas fermé l’oeil de la nuit et était restée au bureau pour étudier des dossiers, proposa de rentré dans un bureau vide. Une fois à l’intérieur, Jack entra et pris la place de Vivian.

JACK : Bonjour, agent Jack Malone. Je dirige l’enquête pour retrouver Jessy.
SAM : Bonjour, agent Samantha Spade.
GREGORY : Où en êtes-vous ?
JACK : Pour l’instant, deux de nos agents sont partis voir votre patron, monsieur John Smith.

Gregory baissa la tête et sa femme lui jeta un regard de stupéfaction.

SAM, bas à Jack : Tu veux que j’aille ailleurs avec Madame Laurence ?
JACK, bas à Samantha : Ouais vas-y.
SAM : Madame Laurence, suivez-moi s’il vous plaît.