Without Jack

Alors là je suis vexée !!!! Et puis, ce que je voulais dire par métier, c'est que je suis en 1ère et que j'ai des dev's.

( alacoolique et fière de l'être )

Mais heu !! Moi aussi j'ai des devoirs (à mais oui je sais !!! t'es pas encore en vacances, comme moi *sors avant de se faire tabasser*)

mais non soir pas véxée je plaisante ! je savais pas que t'étais pas encore en vacances, courage ! plus qu'une semaine !

Un peu de compassion s'il vous plaît ! Il me reste encore 3 jours !!!

Allez voila la suite, bande d'impatients !!!

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Ils remontèrent dans la voiture.

Laura : Je vous ramène à l'hôtel car demain va commencer une mission très importante et vous devez être présents.

Jack : Déjà ? Mais, ils nous font confiance aussi vite ?

Laura : Oui, mais vous êtes des privilégiés car j'ai réussi à être très convaincante...

Un silence pesant s'installa. Jack et Martin se regardèrent, étonnés par cet aveux. Ce silence ne fut pas brisé et laissa Jack penseur, scrutant le paysage défilant. Malgré la présence du printemps, il faisait très froid. La nuit tombait et Jack admirait ce soleil couchant en le comparant au soleil de New-York les soirs d'été lorsqu'il était allongé sur le transat au balcon de l'appartement de Sam.


Flash back


Jack observait l'horizon. Par ces soirées d'été, il aimait rester là le temps que Sam préparait le dîner. On entendait l'agitation entre les building ; les sirènes, les klaxons, les commerçants... Il lui arrivait même de s'endormir suivant la journée qu'il venait de passer.

Sam (depuis la cuisine, s'avançant vers Jack) : Jack, le dîner est prêt ! J'ai réussi à ne pas cramer la pizza, tu te rends...

Elle le vit étendu sur le transat, les bras croisés. Sa respiration était lente et régulière, son visage détendu. Elle s'avança et lui baisa le front, puis la bouche.

Sam (doucement) : Monsieur Malone, le repas est servi.

Jack (se réveillant) : Encore deux minutes...

Sam (le sourire aux lèvres) : Voyons, Jack. J'ai l'impression d'être une mère qui réveille son fils pour aller à l'école.

Jack (somnolant) : Mais je suis bien moi là. Et je serai mieux si...

Il prit la main de Sam et, malgré la rétissance de cette dernière, il l'allongea sur lui. Elle fut prise dans son étreinte et impossible de s'en dégager.

Sam : Je suis pas ton doudou Jack ! Tu vas m'étouffer !

Jack : J'ai jamais eu un doudou aussi beau, laisse moi en profiter.

Sam : Mais Jack, le transat va...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que le transat avait cédé. Ils rigolèrent aux larmes et se retrouvaient tous les deux à même le sol.

Sam : J'espère que tu es content de toi !

Jack (ironique) : Au moins, on ira pas plus bas.

Elle le regardant d'un air menaçant et lui donna un coup sur l'épaule.

Jack : Je t'en rachèterai un, ok ?

Sam : J'y compte bien ! Mais tu pourrai peut-être me lacher maintenant...

Jack (tout sourire) : Pas avant que je me sois fait pardonner.


Fin Flash back

Pffffffffffffffffffffffffffffff !!!!!! LA SUITE !!!! pourquoi j'ai mis "pffffffffffffffffffffffffffffffff" en fait ? je ne me comprends plus...*déjà dehors*

la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !

Oula, ça fait un moment que j'ai pas mis de suite moi, ici !
On va mettre ça sur le dos du manque de temps et d'un surplus de travail (même si je suis en vac's ) Le seul hic, c'est que je passe mon code le 14 mars et va falloir que je le bosse tout les jours !!!
Enfin bon, on s'en fou de ce que je raconte ici, la seule chose qui vous interresse, c'est la suite n'est-ce pas ? Ba vous êtes servi, bande de vautours !

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Laura : C'est le paysage qui vous fait sourire comme ça ? Il est si différent du paysage New-Yorkais ?

Jack était toujours collé à la vitre, perdu dans ces pensées.

Laura : Jack ?

Il sursauta à cet appel. De quoi avait-il l'air perdu dans ses pensées comme ça ? Il avait honte. Et si elle se doutait de quelque chose ? Impossible, elle ne connait pas Sam. Il fallait qu'il mente si elle lui demandait à quoi il pense, il ne serai sans doute pas crédible. Mais pourquoi lui demanderait-elle ça ? En dire le moins possible serait le mieux.

Martin : Jack ? Ca va ?

Jack : Oui, tout va bien.

Laura : Si tu veux mon avis Martin, il ne pensait pas à son premier poisson rouge, si tu vois ce que je veux dire...

Martin rigola et acquieça d'un signe de tête.

"Comment a-t-elle fait pour trouver ?" pensa-t-il. Jack savait qu'il n'allait pas être crédible. Il était géné et préféra détourner son regard vers l'horizon. C'est vrai qu'ils avaient eu de bons moments. Les soirées jeux de société où la partie ne finissait jamais puisque Sam s'en allait, furieuse, quand elle remarquait que Jack trichait. Quand il arrivait à l'improviste chez Sam, en pleine nuit. Il avait les clefs de l'appart', il rentrait sans un bruit. Il se déchaussait, posait son manteau et se glissait sous les couvertures pour prendre Sam dans ses bras.
Mais tout ça était du passé et les regrets d'avoir abandonné tout ça l'envahissaient de plus en plus. Si seulement il pouvait faire machine arrière, retrouver le temps où leur amour grandissait. Ce n'était pas qu'une simple aventure, sinon cela n'aurait pas duré cinq mois. Et cette nuit, ils avaient cédé à la tentation mais la matinée lui avait ouvert les yeux. Mais il n'aurait pas dût être si froid et dire que cétait une erreur dût à l'alcool, c'était lâche de dire ça. Mais comme d'habitude, il cherchait à ne pas lui faire du mal et il faisait totalement le contraire. Si seulement... On peut tout faire avec des "si" mais à cette heure-là il était trop tard, elle ne lui pardonnerait pas ce coup là.
Le silence était devenu bien trop pesant dans cette voiture. "Vivement l'arrivée à l'hôtel" pensa Jack.


Bureau du FBI :


Elena entra dans la pièce principale et se dirigea directement vers son bureau, elle semblait perturbée.
Danny la fixait. A quoi pouvait-elle penser ? Pourquoi avait-elle l'air si perturbée par ce rendez-vous ? Il fallait qu'il lui parle, il fallait qu'il comprenne afin de pouvoir l'aider. Et si elle le repoussait, si il n'était pas la personne à qui elle voudrait se confier, il se sentirait blessé. Ils n'avaient pas vécu assez de choses pour se comprendre et pour réagir face aux problèmes de chacun. Les seules choses qui les rapprochaient, étaient le boulot et Carlos. C'était loin d'être suffisant pour entretenir une relation de confiance, mais en même temps, il fallait de l'expérience pour installer cette confiance, donc passer par des moments comme ceux-là.

Voix : Danny ? Danny ?!

Danny (secouant la tête, l'air surpris) : Hein ?

Sam le ragardait. Elle avait l'air stressé et légèrement énervée par le manque de réaction de Danny. Elle agitait un dossier dans ses mains, elle semblait avoir découvert un indice important.

Sam : Tu m'écoutes quand je te parle ?

Danny (gêné) : Désolé, j'étais ailleurs. On a du nouveau ?

Sam : Vladimir a reçu des menaces portant sur sa famille ainsi qu'à lui. Il a apparement voulu en savoir un peu trop sur les "polski" la maffia pour qui il travaillait, en consultant certains documents soit disant "secrets".

Danny jettait de brefs regards sur Elena tout en écoutant le discours de Samantha.

Danny : Comment sais-tu tout ça ?

Sam : Il a reçu une lettre avec des photos de sa famille prisent à son inssu. Les "polski" lui disent ce que je viens de te résumer. On a trouvé la lettre cachée dans sa chambre.

Danny : Ok, très bien. Pour ma part, je fais un peu du "sur place".

Sam s'était retournée et s'avançait vers son bureau lorsqu'elle s'arrêta et se détourna vers un Danny toujours aussi pensif.

Sam : Au fait Danny, tu devrais aller lui parler.

Il resta bouche bée quelques instants. Comment pouvait-il être aussi peu discret ? Il pensa que cela ne servait à rien de réfléchir une seconde de plus. Il décida donc de suivre le conseil de Sam et se leva, direction le bureau d'Elena.

Vautours ? oh I'm shoked ! lol ! T'y va un peu fort là ! Merci pour la suite !
Et revise bien pour ton code !


J'allais oublier : la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !

Merci de ton soutiens pour le code

Comme j'ai déjà dit, JDR ^^ La suiiite ^^ Et bon courage pour le code (désolée du retard, mais z'étais pas là ^^')

C'est pas grave pour le retard, merci !

Je viens de lire toute ta fic d'un coup, et je demande une suite ! Par contre, t'as pas intéret a faire quoi que ce soit a Marty, sinon je t'étripe !!!!!! *Sort sa dague, son katana, sa collection d'épées, son AK 47, son semi-automatique etc...* Compris ?

Allez les gens, voilà la suite !!! Désolée pour l'attente mais cette suite est plus longue et mieux travaillée donc vous n'avez pas à vous plaindre !!!

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La jeune femme était perdue dans ses pensées. Danny la contemplait en terminant sa course jusqu'à elle. Son coeur s'affolait. Chaque pas le poussait à faire demi-tour, et pourtant, avant qu'il puisse achever son raisonnement, il avait déjà sa main effleurant son épaule.

Elena (surprise) : Ah Danny, tu m'as fait peur...

Danny : Excuse-moi, je ne voulais pas.

Elena : Ce n'est pas grave. Tu voulais me parler de quelque chose ?

Danny : Ba... depuis quelques jours, tu m'as l'air très pensive et un peu à côté de la plaque.

Elena : Juste un peu de fatigue, ne t'inquiète pas.

Danny : J'ai du mal à croire à ce genre de prétexte.

Elena : Pourtant c'est la seule explication que j'ai et tu devras t'en contenter. Par contre, tu es sûr que ça va, toi ?

Danny : Euh, oui. Mais je devrais plutôt te retourner la question. Depuis que tu t'es absentée hier, tu es très bizarre.

Elena : Je te promets que tout va bien. Je suis sortie parce que j'avais juste une course à faire à la pharmacie.

Danny (quelque peu exaspéré) : Elena... Pourquoi tu ne me fais pas confiance ?

Elena : Mais je te fais confiance et tu le sais très bien !

Danny (criant) : Mais alors parle moi !

Tout les agents fédéraux présents s'étaient figés. Leurs yeux étaient fixés sur Danny et plus aucun bruits ne parcouraient la pièce, si ce n'était les sonneries de téléphone. Elena le questionnait du regard jusqu'à ce que l'activité du bureau reprenne son cours. Elle n'en revennait pas. Il ne lui avait jamais parlé comme ça. Peut-être qu'il savait pourquoi elle était si perturbée et qu'il lui en voulait de rien lui dire ? Elle se sentait coupable au fond, mais elle ne voulait pas céder si vite.

Elena (se levant de son fauteuil) : Ecoute Danny, calme toi et reviens me voir quand tu aura une raison de me parler comme ça !

Elle se dirigea, furieuse, en direction de la salle de repos laissant Danny en plan, toujours au même point, et même pire.


Moscou 20h00 :


Laura, Jack et Martin se trouvaient dans le bar de l'hôtel. Ils devaient faire le point sur cette journée et préparer la suivante.

Laura : Demain commence votre première mission, vous vous devez d'être impeccables et d'éviter le genre d'erreurs comme celle d'aujourd'hui. Peut-être que le comportement du boss vous fait sourire agent Fitzgerald, mais vous avez vu qu'il peut vous le faire perdre en un rien de temps.

Martin : Je sous-estimais sa puissance, je dois le reconnaître.

Jack : La prochaine fois, évite de prendre de haut ce genre de personnes. Je suis peut-être plus vieux que toi mais j'estime avoir encore quelques belles années devant moi...

Martin : J'ai pas dit le contraire.

Jack : Il manquerait plus que ça !

Martin adressa un sourire géné à Jack, ne sachant pas comment prendre cette remarque.

Laura : Je crois que nous devrions aller nous reposer car demain va être une journée éprouvante. Nous avons rendez-vous au QG à 7h00. Je passe vous prendre vers 6h30.

Jack (acquiessant) : Très bien.

Laura se leva du tabouret et se dirigea vers la porte, tandis que Jack et Martin regagnèrent leurs chambres respectives.
Ils se trouvèrent dans le couloirs, plus qu'à quelques pas de leurs suites.

Jack (ouvrant la porte) : Bonsoir Martin.

Martin : Bonsoir. Euh... Jack ?

Jack : Oui ?

Martin : Je suis désolé pour aujourd'hui, je n'est pas été à la hauteur et on a failli y passer.

Jack : C'est les risques du métier, non ?

Martin (hochant la tête) : Malheureusement...

Jack (rentrant dans sa chambre) : Allez, bonne nuit Martin.

Martin : Jack, tu as peur de ce qui peut nous arriver avec ce gang ?

Jack (refermant la porte) : Tu me laisses aller dormir si je te rassure en te disant que non ?


Le lendemain, 7h00 :


Les trois agents arrivèrent au QG. Laura semblait perplexe à l'approche de l'entrée. Elle gara la voiture sur le bas côté de la route et mis un temps avant de commencer à marcher vers la porte blindée de cet "entrepot". Jack avançait lui aussi d'un pas méfiant. Il observait les moindres faits et gestes de Laura car elle était la seule à pouvoir les diriger dans cette mission. C'était lui d'habitude qui dirigait les mouvements de son équipe. Autant dire qui lui était difficile de lui faire confiance, même s'il essayait de se convaincre qu'il ne doutait pas des capacités de la jeune femme.

Jack : Quelque chose ne va pas agent Minelli ?

Elle balayait l'horizon du regard cherchant le moindre indice qui pourrait la rassurer. Elle était tout de même déterminée à poursuivre son chemin, mais l'incertitude avait pris place face à la confiance.

Laura : C'est beaucoup trop calme. On dirait qu'ils nous attendent...

Ils s'avancèrent, le gardien leur ouvrit la porte et ils furent conduit jusqu'au bureau du boss. Laura ne semblait vraiment pas confiante, ce qui installa le doute dans l'esprit de Jack. Il redoutait cet entretien, mais il ne pouvait pas faire demi-tour. Dans ces moments difficiles, ses pensées s'orientaient tout naturellement vers Sam. Les remords et les regrets étaient plus que jamais présents, il se disait toujours : "Si je m'en sors, je lui dévoilerai mes sentiments." Bien sûr, il revenait à chaque fois mais il ne tenait pas cet engagement. Par manque de courage ? Peut-être... Mais par peur aussi. Sam lui disait pourtant qu'elle n'aimait pas quand il s'absentait pour des affaires de ce genre. Elle avait toujtours peur pour lui, mais il la rassurait en lui disant que jusqu'ici, il était toujours revenu. Mais à cet instant précis, il pensait que Sam avait peut-être raison d'avoir peur. Et si cette fois il ne revenait pas...
La porte s'ouvrit et ils pénétrèrent dans la pièce jusqu'à se retrouver face à un bureau aux ornements dorés.

Le boss : Regardez qui va là ! Mais ne serait-ce pas mes nouveaux agents ?

Laura : Oui boss.

Le boss : Ferme-là !

Plus personne ne bougeait. Les mains de Jack se mirent à trembler et il cherchait désespérément le regard de Laura qui semblait complètement figée de peur. Martin n'affichait aucune émotion, son regard interrogateur croisa celui de Jack. Pour la première fois, il voyait son patron exprimant un sentiment de peur. Si même Jack ne savait pas quoi faire, qui pourrait les sortir de là ?

Le boss : Vous vous êtes bien foutu de ma gueule agent Minelli de la section criminelle ! Et vous deux, agents Malone et Fitzgerald du FBI, c'est bien ça ? Vous comprenez donc que je ne peux pas me permettre de laisser en vie des putains de flics qui ont infiltré mon réseau ?!

aaaaaaaaaaaaaaaah ! Je vais te tuer ! Espece de sadique ! Met moi une suite illico presto !

Comme j'ai déjà dit... La suite !

a quand la suite ??

La suite pendant mes vac's, c'est à dire dans 1 semaine et demi. Je peux rien vous promettre mais je ne peux pas faire mieux désolée

Grrr...bon je vais patienter alors...

Voila la suite comme promis ! svp ne me tuez pas...


Le boss leva la main droite et en un claquement de doigts, tous les gardes avaient leurs armes pointées vers les trois agents. Laura saisit la main de Jack et la serra aussi fort que possible. Un des gardes se mit face à Jack et pointa l'arme sur son front. Jack fixait l'homme armé, il voulait lui tenir tête jusqu'à ce qu'il lui ôte la vie.
Mais il avait beau avoir l'air fort extérieurement, il ne pût s'empêcher de fermer les yeux quand l'homme se décida à presser la détente. Le bruit sourd transperça les tympans de Martin et son regard se figea sur ce corps percutant le sol. Un cri de douleur surgit et le sang recouvrait le carrelage.

Jack ouvrit un oeil puis l'autre et s'étonna de ne sentir aucune douleur. Baissant légèrement la tête, il vit une jeune femme étendu par terre, sans signe de vie. Il voulut s'occuper de Laura mais les gardes dirigèrent dangereusement leurs armes dans sa direction.

Le boss (avec un sourire narquois) : A qui le tour maintenant ? Batman ou son accolite ?

Le maffieux fit un nouveau claquement de doigt et la vision de Jack se troubla à la douleur ressenti sur l'arrière de son crane. Sa chute fut accompagnée de celle de Martin qui se retrouva "à plat ventre" sur le sol. Un grand trou noir s'empara de l'esprit des deux hommes inertes.


Bureau du FBI, 15h00 :


Alors que chaque agent était occupé à son bureau, Vivian rentra de son entretien avec Van Doren. Visiblement perturbée, elle ordonna un briefing autour de la table centrale. Elle évitait les regards de ses collègues, qui étaient devenus ses agents, depuis le départ de Jack et Martin, et elle espérait ne pas garder ce poste définitivement vu comment s'annonçait la situation.

Vivian : Bon... Je m'inquiète peut-être pour rien, mais Jack avait prévu de nous rappeler il y a maintenant quatre heures, et comme vous le savez, nous sommes toujours sans nouvelles. Nous n'avons aucun moyen de les localiser et les appeler serait risquer leur couverture, si elle existe encore.

Elena : Qu'est-ce qu'on peut faire ?

Vivian (découragée) : On peut juste attendre que Jack nous contact et chercher des informations sur cette maffia pour trouver où se situe leur QG.

Sam : Allez mettons nous au boulot, si on veut les retrouver, il faut agir vite.

Danny : Tu m'a l'air très optimiste Sam...

Sam : C'est pas de l'optimisme, je dis juste qu'il ne faut pas baisser les bras. On est sûr de rien pour l'instant.

Vivian : Sam a raison. Au travail.


Moscou, 21h00 heure locale :


Martin se reveilla doucement, il faisait nuit. Il voulut se lever mais une violente douleur le cloua au sol. Un battement raisonnait dans sa tête et il saignait sur le derrière du crane. La pièce était totalement vide, seul une petite fenêtre laissait paraître la clarté de la lune. Il avait aucune idée de l'heure et encore moins de l'endroit où il se trouvait. Le premier réflexe qu'il eut, fut de chercher Jack mais le seul signe de vie dans cette pièce était un rat en quête de nourriture. A la vue de cet animal, l'instinct de survie pris le dessus.
Il fallait qu'il sorte et la fenêtre était la seule issue de secours. Il devait aller chercher de l'aide pour Jack.
Il se déplaca, tant bien que mal, jusqu'à la fenêtre et l'ouvrit. A sa grande surprise, les gardes n'avaient pas pris la précaution de vérouiller les issues. Une fois dehors, il courut le plus vite possible dans la forêt. La neige le galçait jusqu'aux os, les pins l'entouraient, il n'avait aucun moyen de s'orienter si ce n'est les étoiles.
Après une bonne heure marche, l'espoir se sentit lorsque, en contre bas, les lumières de la ville sintillaient.

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Quelque chose chatouillait le visage de Jack, reniflait ses cheveux, poser une patte sur son visage. Quand il ouvrit les yeux, il vit le museau d'un petit rat juste devant sa figure. En temps normal, l'animal l'aurait répugné mais il n'avait pas la force d'éprouver la moindre émotion. Ses paupières devinrent de plus en plus lourdes et le sommeil prit le dessus.

Voix affolée : Jack ? Tu m'entends Jack ?

Jack sentit Vivian le secouer comme un prunier. Le visage de l'agent se déssina peu à peu et sa voix semblait plus rassurée.

Vivian : Jack, tu te sens bien ? C'est fini, t'inquiète pas, on va te sortir de là.

Jack : Où je suis là ? Et qu'elle heure il est ?

Vivian : T'es au QG de la maffia à Moscou, Martin a réussi à s'échapper et nous a prévenu. Et il est (regardant sa montre) 7h18 précisément.

Jack (essayant de se relever) : Et les maffieux, où sont-ils ?

Vivian : Nous les avons arrêté. Allez viens, on sort.

Combien de temps avait-il dormi pour que tout soit déjà fini. Au fond, tout cela n'avait que peu d'importance. Il faisait sombre dans ce couloir et la porte de sortie se rapprochait à grand pas. Que se passait-il à l'extérieur ? Il y avait sans doute tout le FBI et la police russe en train de s'occuper des maffieux.
La porte était là, devant lui, Vivian posa la main sur la poignée et ouvrit. Il neigait et un léger vent glacial fit frissonner chacun de ses membres. Il chercha Martin des yeux pour s'assurer qu'il allait bien et peut-être pour le remercier aussi. Il était adossé à la voiture de Vivian, les cheveux plein de neige et buvant un café. Jack lui sourit et s'avança jusqu'à lui.

Jack : Tu va attraper froid à rester là.

Martin : Je crois que c'est pas grand chose à côté de ce qu'on a enduré.

Jack : C'est pas faux... Au fait, (se passant la main dans le cou) merci.

Martin (surpris) : Derien... J'ai juste essayer de faire en sorte qu'on y reste pas.

Le silence devenu bien trop pesant. "Je me doutais pas que j'arriverai à dire aussi facilement merci à quelqu'un qui vient de me sauver la vie..." pensa Jack. Heureusement, le silence fut briser par l'arrivée d'une voiture du FBI. Sam en descendit toute affolée et se précipita vers les deux hommes. Elle avait les larmes au yeux, ce qui fit redresser Martin. Plus que quelques pas et il fallait qu'elle se décide à qui parler en premier. Son regard fixa celui de Jack, il lui sourit, il était sûr maintenant que c'était à lui qu'elle allait parler en premier.
Mais les yeux de Sam dérivèrent d'un seul coup dans ceux de Martin. Il ne comprenait plus, pourquoi elle s'avançait vers lui maintenant ? Martin lui sourit et elle fit de même avant de se jeter dans ses bras.
Jack, planté comme un piquet, les regardait s'embrasser. L'impression qu'on lui enfonçait un couteau dans le coeur grandissait. Martin était tout aussi surpris par la réaction de Sam mais cela semblait ne pas lui déplaire, au contraire.

Comment cela avait pu arriver ? Jack était blanc comme un cachet d'aspirine et la peine fut remplacée par la haine. Elle faisait peut-être exprès pour lui faire regretter de l'avoir jeté comme il l'a fait. Mais quand même, se remettre avec Martin ! Il se retourna et partit, les larmes coulant sur ses joues, avec les ambulanciers. Complètement choqué, sans aucunes réactions, il tomba d'un seul coup sur le sol enneigé.

... Hum... Bon je me suis calmée après ce que tu m'as dit mais bon... Voilà quoi... C'est quand même TRES sadique... Alors la suite !

ouais ben moi j'ai un couteau dans le coeur aussi là ! Comment tu as pu écrire un truc pareil ? C'est du sadisme pur et dur la ! C'est hooooooooooooooooooooooooorrrrrrrrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiible ! Enfin pas ta fic, non non, ta fic est géniale !!!!!!!!!!!!!!
C'est imaginer la dernière scene qui est insuportable...aaaaaaaaaah ! *respire des sels*


La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !

J'en était sûre que ça vous plairez !

SAAAAAAAAAAAAAAAAAAADIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Melany, la suite.....................tu es vraiment sadique de nous laisser comme ça.