Amo ab imo pectore [Complète]

Bon les experts j'aime bien mais je suis pas aussi fan que FBI, mais je me lance quand même (je sais pas trop ce que ca va donner )
Mais vous me dites ce que vous en penser.

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Sarah, criant : Non ! Non ! Et non ! Trop c'est trop !

Grissom sursauta et s'arréta net en levant le nez de ses papiers. Il relisait sonn rapport d'enquéte qu'il venait de boucler avec Catherine et Nick. C'est derniers étaient partis depuis un moment déja, afin de profiter de leur soirée puisqu'il n'était que 20h30, autant dire le début du boulot pour l'équipe de nuit. Fidéle à lui même, Gil comptait rester encore un peu.
Il retournais à son bureau quand la voix de sarah retint son attention.
Elle en avait aprés Greg, et le jeune CSI n'en menait pa slarge devant la fureur de sa collégue.

Sarah, criant : Tu te fiche de moi Greg ! Je t'avais dis que il me fallait ce résultat le plus vite possible !
Greg, apeuré : Ecoute Sarah je...

Gref reçu une baffe qui l'empécha de finir sa phrase. Gil grimaca devant la violence de la baffe, il avait mal pour Greg. IL décida de s'interposer avant que Sarah de le mette en pieces.

Grissom : Sarah ? Qui a-t-il ?

Sarah se tourna vers son patron. Elle se sentai d'humeur à drapper tout le monde, même Grissom. Finalement elle se retint et se précipitat vers la sortie bousculant son supérieur au passage.

Sarah, hurlant : Je vais passer de scientifique à meurtrière !!!

Grissom la regarda partir. Puis il secoua la téta et se tourna vers Greg. Il désigna la joue du scientifique qui était devenue rouge tomate.

Grissom : Elle ne vous as pas loupé.
Greg : Ca vous pouvez le dire !
Grissom : Qu'est-ce qui se passe ?
Greg : Eh bien, comme vous m'aviez demandé de faire passer votre enquéte en priorité, je n'ai pas encore eu le temps d'analyser les empreintes que Sarah m'avait donné.

Grissom sourit. Sarah avait enfin quelque chose pour son affaire et voilà que par sa faute l'enquéte piétinais. Je ne pourrais jamais faire quelque chose de bien pour elle se dit-il. Il soupira.

Grissom : Bon mettez vous au travail. Je m'occupe de Sarah.
Greg : Essayer de le calmer Grissom, parce que sinon elle va me tuer !
Grissom : Je ferais mon possible pour l'en empécher Greg.

Sur ce il partit déposer ses papiers sur son bureau puis se dirigea vers les vestiaires, où il savait que Sarah se serait réfugiée.



A suivre...sauf si vous trouver que ça n'en vaut pas la peine...

Si si c'est trés bien continue!!!!!!

si si sa a l'air pas mal !!

J'adore !!! Alors a quand la suite ?

Bientot promis !!!!!!!! Sauf si j'ai décidé d'être sadique...

bon on va laisser le sadisme de coté...
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Au moment où il rentrait dans la piece, la jeune femme lançait son poing dans la porte d'un casier. Elle frappa tellement fort qu'elle se fit mal.

Sara : Aie ! Et merde !
Grissom, souriant : Vous savez ce n'est pas en martirisant un bout de métal que votre enquéte va avancer.

Sara lui jeta un bref coup d'oeil, avant de regarder sa main douloureuse : elle saignait au niveau des phalanges et le sang coulait sur ces doigts. Lorsque Grissom le vit, il sortit un mouchoir et essuya le liquide rouge.
Sara s'empécha de le regarder, parce ce qu'elle savait que si elle croisait son regard , elle serait perdue...Lorsqu'il lacha sa main elle rompis le silence en maudissant son collègue.

Sara, serrant les dents : Greg n'est qu'un idiot !
Grissom, souriant : Rien de nouveau sous le soleil !
Sara, levant les yeux au ciel : Oh s'il vous plait ! Epargner-moi vos phrases grissomiennes !
Grissom, souriant : Ah,non ! Mauvaise pioche, ce sont des paroles de l' Ecclésiaste.

Sara leva finalement les yeux vers lui rencontrant imédiatement l'ocean dans lequel elle ne pouvais s'empécher de se baigner.

Sara, souriant : De qui ?
Grissom, souriant : Laissez tomber.

Son sourire fut soudain remplacé par une mine désolée.

Grissom, embarrassé : Sara, ce n'est pas la faute de Greg, si...
Sara, le coupant : Bien sur que si ! De qui d'autre cela pourrais être la faute !
Grissom, embarrassé : De moi.

Sara le regarda incrédule.

Grissom, embarrassé : Désolé Sara, mais Ecklie m'a dit que mon enquéte devait être bouclée au plus vite. Donc j'ai demandé à Greg de faire passer nos indices en priorité. Je ne savais pas que vous aviez du nouveau.

Sara hocha doucement la tête et s'assit sur un banc. Grissom savait qu'elle prenait cette affaire à coeur. Elle enquétait sur le meurtre de quatre adolescentes. Un homme les violais puis les étranglait, le meurtrier les laissait dans le coin d'une ruelle.
Depuis le début de l'enquéte il y avait eu deux autres meurtres.
Deux autres jeunes filles.
Deux de trop pour Sara.

Sara, haussant les épaules : Ce n'est pas grave. De toute façon quelque soit le résultat cela ne changeras rien. C'est perdu d'avance. On y arrivera jamais.

Une larme coula. Grissom se baissa à son niveau. Il posa une main sur la joue de la jeune femme (joue qui s'empourpa) et essuya la deuxieme larme de son pouce.

Grissom, doux : Jamais, ne fait pas parti de mon vocabulaire Sara.

Il vit que les traits de la jeune femme était tirés et elle avait des cernes sous les yeux. Gil se leva et sans prévenir vins derriere Sara lui masser la nuque.

Sara, surprise : Grissom ? Qu'est-ce que vous faites ?
Grissom, souriant : J'essaye de vous détendre. Si vous pouviez m'aider ce serait sympathique !

Sara se relacha ses muscles, et refléchi. Gil évitait tout les occasions de la toucher, et là il se mettait à lui masser le coup, c'est le monde à l'envers !

Grissom : Vous allez rentrer chez vous Sara, et vous coucher ! Je ne veux pas vous revoir avant que ces cernes aient disparues !

Il enleva ses mains et Sara se leva en souriant.

Sara, souriant : Même si je le voulais je ne pourrais pas dormir Grissom. Plusieures maison du quartier sont en démolitions et sa fait un boucan épouvantable. Si je rentre je pourrais dormir jusqu'a 7h30 maximum.
Grissom : Ils ne demolissent pas la nuit je suppose...Prenez un ou deux jours pour récupérer.
Sara, s'énervant : Hors de question !
Grissom, fronçant les sourcils : Sara, vous avez besoin de repos !
Sara, énervée : Dormir : pas de probleme ! Mais ne plus travailler c'est non, non, et encore non !

Grissom sourit. Sara avait maintenant les bras croisés et le fixait d'un oeil noir.

Grissom, souriant : Trés bien Sara ! Il ne vous reste qu'une solution.
Sara, surprise : Laquelle ?
Grissom, tendant des clefs : Vous allez dormir chez moi !
Sara, encore plus surprise : Quoi ?! Mais...
Grissom : C'est un ordre Sara !

Il souriat quand elle prit les clefs.

Grissom, souriant : Et quand je rentre je ne veux pas vous retrouver dans le canapé, prenez le lit. Ca va un peu contrarier Rick, mais ce n'est pas grave.
Sara : Rick ?
Grissom : Mon chien, il ne ferait pas de mal a une mouche rassurer-vous.

Sara lui sourit et se dirigea vers la porte. Elle s'arreta un instant et se tourna vers Gil.

Sara : Grissom ?...Merci.

Super, a quand la suite ? J'aime bcp!!

bientot ! faut que jtrouve une idée aussi d'abord

Raaa !!!! Elle est ou la suite ? Il me tarde déja de voir comment va réagir Sara une fois qu'elle sera cez lui !!! mdr ! Alors VIVE LA SUITE !!!

hum j'espére que tu n'attend pas a ce que se soit rapide ! pasque la construction du GSR se fait trés trés lentement
et oui moi aussi je peux être sadique...

lol !

Bon...comment expliquez mes 300 ans d'absence sur cette partie du forum...on va être honnête, je suis tellement à fond dans mon cross over que j'ai complètement zappé cette fic...promis je vais mieux m'en occuper.

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Sara lui sourit et se dirigea vers la porte. Elle s'arreta un instant et se tourna vers Gil.

Sara : Grissom ?...Merci.

Gil lui répondit par un grand sourire puis la suivit du regard alors qu’elle disparaissait au bout du couloir. Il partit rejoindre Greg bien décider a se montrer actif dans cette affaire Il ne supporterait plus voir Sara dans cet état de détresse.

Dans le labo, il découvrit un Warrick assez tendu. Les bras croisés et le regard noir dirigé vers Greg. Ce dernier lança un regard suppliant à son supérieur lorsqu’il entra. Grissom se tourna vers Warrick et tenta d’adoucir les choses.

Grissom : Warrick, c’est entièrement ma faute si Greg n’a pas analysé vos empreintes. Je suis vraiment désoler. Je vais me racheter en vous aidant.

Warrick se détendit un peu résistant à l’envie de tordre le cou de Greg.

Warrick : D’accord. Bon Greg maintenant tu bosse, on a vraiment besoin de ses empreintes !
Greg, soulagé : Pas de problème !
Warrick : Je vais prendre un café, de toute façon sans les preuves on ne pourra pas avancer.
Grissom : Je vous accompagne, vous pourrez me raconter les détails.



Warrick donna un café à son patron avant de s’asseoir e à coté de lui.

Warrick, ton écœuré : Toutes les adolescentes ont 14 ans et elles sont toutes nées au mois de décembre. Le tueur semble apparemment se lier d’amitié avec elle (probablement sur internet) parce que personne ne les voient repousser un homme. Le tueur les emmène dans une ruelle, les violes, il les tues en les égorgeant, il leur coupe ensuite la main droite et leur casse la mâchoire.

Il avait sortit ça d’une traite à Grissom, qui était maintenant très pâle. Les détails venaient de faire remonter un souvenir qu’il ne chérissait pas.
Non, non impossible, c’est impossible.
Pourtant, les éléments coïncidaient de façon troublante :

Ados de 14 ans
Née au mois de décembre
Violée, égorgée, la mâchoire cassé, la main droite coupée
Retrouvée dans le fond d’une ruelle

Il avait déjà vu ça. Une fois. Et il priait intérieurement, sans trop y croire, pour ce que cela n’ait aucun rapport. Greg choisi de les rejoindre à ce moment la mine triomphante.
Il détruit toute l’assurance de Gil en une phrase.

Greg, joyeux : Votre tueur s’appelle David Clarson !

Grissom se figea instantanément. Son passé venait de le rattraper à vitesse grand V. Greg continuait de parler. Mais son patron n’entendais rien, ci ce n’est les dernier mots échangés cette nuit là, ces 6 derniers mots, qui tournait maintenant en boucle dans son esprit.

"Tu me le promets, Gil ?
Je te donne ma parole David !"

Sara entra dans la maison de Grissom. Elle venait de fermer la porte lorsqu’un magnifique berger allemand vient l’accueillir en frotta sa tête contre les jambes de la jeune femme.
Elle s’agenouilla et caressa la tête de l’animal.

Sara : Bonjour Rick, moi c’est Sara.

Déposant ses affaires sur le canapé, elle se promena dans la maison, en s’apercevant que finalement elle ne connaissait rien de Gil. Il n’y avait pas grand-chose : des livres (pas étonnant du tout), une télévision (un peu plus surprenant )des insectes emprisonné dans des cadres pour certains, dans de la cire pour d’autre, le papier peint de couleur bleu-gris. En somme un décor très "Grissomien".
Elle récupéra ses affaires et entra dans la chambre. Sara n’avait pris que des affaires de rechange pour le lendemain, et des affaires de sport, au cas où elle voudrait aller courir un peu. Je ne compte pas m’éterniser, pensa-t-elle. Il lui serait difficile de dormir dans la même maison que Grissom sans aller s’endormir dans les bras de ce dernier.
Son portable sonna. Elle sourit en voyant le nom affiché.

Sara, décrochant : Je vous manque déjà Grissom ?
Grissom, riant : Peut-être bien... Je vous appelle pour vous prévenir que je rentrerais plus tôt que prévu. Votre enquête est assez complexe, et pour l’instant il n’y a rien d’autre à faire que réfléchir. Je vais donc rentrer, autant réfléchir chez moi.
Sara : Très bien. Je vous attends.
Grissom : Sara…allez vous coucher, vous manquez de sommeil.
Sara : Ca ira ne vous inquiété pas pour moi.
Grissom ; Justement Sara, je m’inquiète. Ne m’attendez pas aller dormir.
Sara : D’accord…à demain matin alors.
Grissom : A demain matin, Sara.

Elle raccrocha encore surprise des paroles de Grissom. Il s’inquiète pour elle ?
Un sourire sur les lèvres elle se mit rapidement en pyjama puis se glissa dans les couvertures.
Sara respira profondément, s’imprégnant de l’odeur de Gil, avant de tomber dans un profond sommeil.


Grissom posa le rapport du légiste sur son bureau et prit sa tête dans ses mains agrippant ses court cheveux poivres et sels. La sensation d’apaisement que lui avait procuré la voix de Sara il ya peu, c’était maintenant dissipée.
David avait commis six meurtres, mais n’avait choisi de se faire connaitre qu’au bout du sixième.
Il sait que je vais m’occuper de l’enquête, il joue avec moi. Je n’ai rien oublié David. Je ne t’ai pas oublié, ni toi, ni Angela. Mes recherches n’ont simplement rien donné. Je t’ai cherché au quatre coin du monde, et voila que tu reviens en serial-killer...
Il se leva et pris ses clefs de voiture. Avant de sortir il jeta un cou d’œil à sa montre. Minuit cinq. Il était tôt pour sortir du bureau, mais il voulait rentrer chez lui et veiller sur Sara. Veiller sur, elle comme il aurait du veiller sur Angela.

Devant chez lui il se gara a coté de Sara puis sortit de sa voiture. Rick l’attendait devant la porte. Gil lui caressa la tête d’un air distrait, en regardant la porte close de sa chambre. Il entra dans la pièce en faisant le moins de bruit possible. Il s’assit sur le lit face à Sara. Grissom la contempla résistant à l’envie de se coucher auprès d’elle et de la serrer dans ses bras. Il déposa un baisé sur son front et pris une couverture.
Sur le canapé, il eut plusieurs pensées avant de s’endormir.
La première fut pour David et Angela.
La seconde, pour Rachel.
Et la troisième pour Sara.
Associant la troisième pensée au visage qu’il chérissait tant, il s’endormit, un sourire au bout des lèvres.

jadore, l'enquette a l'air super! J'attend la suite avec impatience!

Sara se réveilla en sursaut. Un chien aboyait.
Mais…il n’y a pas de chien dans mon immeuble…
Elle mit un petit moment, avant de se rendre compte que le lit dans lequel elle avait dormi, était imprégné d’une autre odeur que la sienne.
Son odeur.
La mémoire lui revint : Grissom l’avait invité a dormir chez lui, et le chien qui aboyait n’était autre que Rick. Ce n’était pas un réveil très mélodieux mais ça changeait un peu de la sonnerie stridente de son réveil. La jeune femme regarda l’heure : 9 h 30
Elle se leva et sortit de la chambre.
Grissom tentait en vain de faire taire son chien.

Grissom : Rick ! Sale cabot ! Tu risque de la réveiller !

Il entendit un petit rire derrière lui.

Sara, riant : Trop tard Griss !

Gil se tourna et se figeât instantanément. Sara était simplement vêtue d’une nuisette à brettelles bleue marine, qui s’arrêtait à mis cuisse. Il sentit son cœur accéléré et ses joues s’embraser, lorsqu’il la détailla. Sara, consciente de l’effet qu’elle produisait chez son supérieur, en voyant la tête qu’il affichait, rougit également. Elle détourna la tête rompant ainsi le contact visuel. Grissom fit de même et s’assit sur le fauteuil pour nouer ses baskets.

Grissom, gêné : Hum…désolé que Rick ses soit montré si bruyant.
Sara, gênée : Oh…ce n’est pas grave…il était temps que je me lève de toute façon.

Elle avait tourné son regard vers lui lorsqu’elle parlait et venait juste de remarquer qu’il était en jogging.

Sara : Vous partez quelque part ?

Grissom leva la tête essayant d’avoir le plus de contenance possible et de ne fixer que ses yeux noisette.

Grissom : Euh…oui, je vais courir un peu et promener Rick, je devrait être e retour dans une demi-heure, voir trois quart d’heure.
Sara : Je viens avec vous.

Grissom eu seulement le temps d’ouvrit la bouche avant de la voir disparaître derrière la porte de sa chambre. Il referma sa bouche. Qu’allait-il lui dire d’ailleurs ? Non Sara vous devez encore vous reposer, ce n’est pas une bonne idée. Mais bien sur ! Sara était aussi têtue que lui, toute ce qu’il dirait ne servirait à rien.
Elle reparue 5 minutes plus tard vêtue d’un ensemble noir. Grissom lui sourit, ouvrit la porte et se recula afin de la laisser passer.

Grissom, souriant : Après-vous.

Sara lui rendit son sourire et sortit.

Sara : Alors ? Où allons nous ?
Grissom, désignant Rick : Là où il nous emmène.

Rick décida d’emmener les deux CSI au parc, Sara qui avait l’habitude de courir dans les rues de la ville, trouva le paysage idéal.
Cela faisait prés de 20 minutes qu’ils courraient lorsque Rick accéléra l’allure. Et son maître suivi. Un peu intrigué, Sara suivit.
Le chien pique alors un véritable sprint suivi de prés par Grissom.
100 mètres plus loin, le CSI ralentit finalement l’allure et s’écroula dans l’herbe au bord d’un lac, les bras e croix les yeux fermés, à bout de souffle.
Sara essoufflée également se laissa tombé à ses cotés.

Sara, essoufflée : C’est…toujours comme ça…vos joggings ?
Grissom, souriant : Désolé…j’aurais du vous prévenir.
Sara, essoufflée : Y a pas de mal ! Ah ! Je crois que Rick attend quelque chose !

Grissom ouvrit les yeux, en effet Rick le contemplait de ses prunelles de ses prunelles grises un bâton dans la gueule.

Grissom, protestant : Quoi ?! Déjà ?! Au plus on vient ici au moins tu me laisse récupéré !

Son chien émit un grognement sourd signe de son impatiente.
Grissom se leva et prit le bâton.

Grissom : O.K ! O.K ! Tient !

Il lança le bâton au loin et le chien partit comme une flèche. Il se rassit et regarda Sara. Celle-ci le fixait en souriant. Grissom fronça les sourcils.

Grissom : Quoi ?
Sara : Rien…c’est juste que si je venais à vous rencontrer maintenant en sachant qui vous êtes, je me demanderais si vous n’avez pas perdu la raison…

Grissom éclata de rire. Sara vu son regard bleu azur pétiller.

Grissom, riant : Pourquoi ? J’ai l’air si différent que ça du scientifique amoureux des insectes ?
Sara, souriant : Oh oui ! Ce serait super si vous étiez tout le temps comme ça au bureau !

Grissom afficha un regard surpris, il ouvrit la bouche pour répondre mais Rick était revenu et lui tendait une nouvelle fois le bâton. Gil se leva et lui lança le bâton cette fois ci dans l’eau. Le chien le regarda un instant avant de plonger.
Le CSI se laissa tomber dans l’herbe évitant le regard de Sara.

Grissom : Je suis si…exécrable, que ça au labo ?
Sara : Pas tout le temps, mais quelques fois on dirait que vous en voulait à la Terre entière.
Grissom : Eh bien j’essaierai…je ferais attention à mes sautes d’humeur à présent.

Surtout pour cette enquête…il savait qu’il devrait dire la vérité à son équipe. Et il était aussi conscient si David le surveillait, le moindre fait ou geste qui montrerais que ces collègues étaient une famille pour lui, eh bien cela les mettrait tous en danger. Y compris Sara.
Rick était revenu au bord de l’eau, sans pour autant en sortir. Son maître se lave et vint chercher le bâton…que son chien refusa de lâcher, le tirant en arrière…
Le CSI perdit l’équilibre se retrouvant à l’eau. Lorsqu’il reparut à la surface Sara était debout au bord de l’eau morte de rire.

Sara, riant : L’eau est bonne Griss ?
Grissom, souriant : Elle est un peu froide pour tout vous dire…mais vous devriez vous en rendre compte par vous-même….

En effet Rick se faufila entre les jambes de la jeune femme qui perdit l’équilibre et rejoins Grissom. Ce fut au tour de Grissom d’éclater de rire lorsque Sara reparue en relevant ses cheveux mouillés. Il sortit néanmoins et tendit la main à Sara pour l’aider à faire de même.
Alors qu’elle sortit sa jambe de l’eau son pied agrippa une pierre. Sara trébucha et tomba sur Gil, les mettant tous deux a terre.
Le temps sembla s’arrêter, Sara se retrouvant sur Grissom, ne savait plus quoi dire ou faire perdue dans l’océan de ses yeux. Quand à Grissom ses mains s’étaient posées instinctivement sur les hanches de la jeune femme et une voix dans sa tête ne cessait de lui répéter qu’il fallait qu’il l’embrasse maintenant !
Gil choisi de suivre le conseil et ses lèvres s’approchèrent de celles de Sara…

Le portable de Gil sonna à se moment faisant réagir les deux CSI qui roulèrent chacun d’un coté se libérant de leur étreinte passionnelle.
Grissom récupéra rapidement son téléphone et décrocha et posa son regard partout, sauf sur Sara.

Grissom : Grissom !
Warrick : C’est Warrick. Brass vient de m’appeler. Il y a eu un nouveau meurtre.

Grissom soupira et se massa l’arrête du nez. C’est pas vrai !

Grissom : Merci de m’avoir prévenu Warrick, j’appelle Sara.
Warrick : D’accord.

Il raccrocha. Gil se tourna vers Sara. Au nom de Warrick elle avait écouté avec attention et espérais qu’il n’appelait pas pour des mauvaises nouvelles.

Grissom : Ils ont trouvés un autre corps.

Sara se leva et parti d’un pas rapide. A cet instant elle ne voulait à tout le monde. Elle en voulait à se serial killer pour ses actes, elle en voulait à Warrick d’avoir téléphoné alors que Grissom s’apprêtait à l’embrasser et elle en voulait à Grissom d’avoir décroché.
Une main saisit son bras, coupant sa marche en la tournant doucement et elle se retrouva face à son supérieur. Celui-ci lâcha son bras et posa sa main sur sa joue.

Grissom : Je vous promets que c’était son dernier meurtre Sara.

Il retira sa main et mit sa veste sur les épaules de Sara. Puis , posant sa main sur le bas de son dos il avança à coté d’elle.

Tu n'a pas le droit de faire cela! lol! Sara et Gil laisse les s'embrasser STP lol !!!!!!

Bon je vais pas etre très original mais je VEUX LA SUITE !!!!

ecoute c'est moi qui écrit l'histoire donc je fais ce que je veux !

et puis pour la suite j'ai pas trop le temps en ce moment donc désolée very very sorry mais j'active le mode sadique...

lol!! ba je boude! lol
Ba je patienterais !

'Scusez moi, j'avai pas poster avant mais.... ze veux.... LA SUITE !!!!!!!

Tu veux une suite ? Eh bien voila !!!!!!!
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Sara était sous la douche, ce qui laissait le temps à Grissom de réfléchir. Pas par rapport à David, non de ce coté là sa décision étai prise : ce soir il dirait tout à l’équipe. Non, il réfléchissait à ce qui venait de se passer, à ce qu’il avait failli faire. Gil ne savait s’il devait bénir ou non l’appel de Warrick. Il avait vraiment voulu embrasser Sara ! En rentrant il avait du faire preuve d’un grand self contrôle pour ne pas prendre sa douche avec elle ! Sara sous sa douche…nue…
Il devait se changer les idées ! Maintenant ! Tout de suite ! Grissom sortit pour récupérer son courrier, le regard concentré sur la boite aux lettres, empêchant ainsi son esprit de vagabonder sur des pensées pas très catholiques. Il n’y avait qu’une seule enveloppe. Pas de nom d’expéditeur, pas d’adresse, pas de timbre, juste l’inscription Gil Grissom écrite manuellement. L’écriture semblait familière au CSI. Il retourna dans son salon et commença la lecture de la lettre qui se trouvait dans l’enveloppe.

Dans la salle de bains l’eau avait cessé de couler. Mais Gil ne s’en souciait pas, incapable de détacher ses yeux de la feuille devant lui.

Mon cher Gil,

Cela fait un bail, non ?
Je me demandais quand tu allais daigner accorder ton attention à cette affaire. Elle doit remuer quelques souvenirs en toi je suppose…

Tu te souviens de nous à l’époque ? Moi, Rachel et toi. Les inséparables, amis depuis l’enfance. On avait tous trois nos rêves. Rachel voulait être professeur en académie. Comme je sais que tu ne la pas revue depuis longtemps, je t’informe qu’elle y est arrivé. Le tien c’était devenir le meilleur scientifique des Etats-Unis, tu y es arrivé aussi. En fin de compte il n’y a que moi qui n’ai pas eu ce que je voulais. Pourtant j’avais toutes les qualités requises pour devenir sénateur, tu savais à quel point c’était important pour moi cette carrière. Toi et Rachel avait out gâché…

Je vais me venger, Gil. Oh ! Je ne vais pas te tuer, si c’est ce que tu pense ! Non…je vais te prendre la personne qui t’est le plus cher au monde…Sara, c’est ça ?
Tu verras Gil, vivre sans elle sera encore pire que la mort…

David

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Oui je sais c’est cour ! Ne m’en voulez pas j’ai énormément de boulot en ce moment !

So... The continuation pliiiz !!!

Les mains de Grissom tremblaient, il n'arrivait plus à lâcher la feuille.
Sara qui sortait de la salle de bains, fraichement habillée, le retrouva dans cet état, le regard rempli de terreur et le corps tressautant. Elle s'approcha de lui et posa une main sur son épaule. Grissom ne fit aucun mouvement. Alors ça ce n'est vraiment pas normal, pensa Sara, Grissom ne pert pas le contrôle de lui-même, ou alors, ce n'est plus Grissom !

Sara : Grissom ?

Pas de réponse. Mais au son de sa voix le scientifique avait enfin réagit et il se leva pour passer son visage sous l'eau fraiche. Il avait finalement lâché la lettre, qui était maintenant lue par Sara. A la fin de sa lecture, elle le rejoint sur le canapé et le fixa.

Sara, douce : Griss ?

Gil la regarda. Sara lui demandais de s'expliquer par la force de son regard. Il prit une profonde inspiration et se passa une main fébrile dans les cheveux.

Grissom : Mon explication sera longue, Sara. Je n'est aucune envie de m'interrompre, parce que, si je le fais je risque de ne plus pouvoir continuer. Tout ce que je vous demande c'est de m'écouter. Vous pourrez me haïr, me juger, poser toutes les questions que vous voulez, après.

Sara acquiesça d'un signe de tête. Grissom inspira profondément et se jeta à l'eau.

Grissom : Pour répondre à vos questions muettes : oui celui qui écrit la lettre est le tueur, oui je le connais et encore oui ces meurtres ont un sens.
J'avais une vingtaines d'années à l'époque. Tout me réussissait. Le métier dans la police scientifique m'ouvrait ses portes. J'avais un meilleur ami sur lequel je pouvais compter : David Clarson et mon autre amie devenue ma fiancée : Rachel Dickman. Comme le dis David dans sa lettre tous nos proches nous appelais les inséparables et tout le monde était persuadé que l'on finirait nos jours à trois.

Gil se sentait mal. A chaque souvenir qui refaisait surface s'était comme si un serpent le mordait une fois de plus, injectant son venin encore et encore dans ses veines. Le venin s'enfonçait toujours plus profondément, le meurtrissant au plus profond de son être.

Grissom : Tout a dérapé un soir de noël. David avait une sœur, Angela, la prunelle de ses yeux. Ce fameux soir, il avait été invité à une soirée où on lui avait dit qu’il rencontrerait les personnes adéquates pour se lancer dans sa carrière de sénateur. D’ordinaire il aurait laissé sa sœur seule à la maison ; elle était du genre renfermée et à son âge on se soucie bien des cadeaux et du père noël. Mais Angela avait rencontré une personne sur le Web et cette personne lui avait donné rendez-vous. David était méfiant de nature et il nous a demandé de veiller sur elle. Je vérifiai toute les demi-heures qu’elle était encore là. Au bout d’un moment Rachel en a eu marre et…elle m’a emmené dans la chambre.

Sara comprenait se qu’il venait d’insinuer avec le plus de tact possible, et elle avait du mal a ne pas être jalouse. Se souvenant qu’il ne fallait surtout pas l’interrompre elle résista à l’envie de lui hurler toute sa frustration. C’était elle qu’il avait failli embrasser ce matin pas cette Rachel !
Du coté de Grissom, le venin venait de rejoindre son cœur et le gout du sang se formait lentement, au rythme de ses paroles, dans sa bouche.

Grissom : On n’a pas entendu Angela partir. Je m’en suis aperçu le lendemain. On là retrouvée le soir à 22h30. Je me souviens encore de l’heure, je me souviens encore des gyrophares qui ne cessait de tourner, je me souviens du corps mutilé d’Angela et par-dessus tout je me souviens du visage blême de David, à ce moment, je sus que plus rien ni personne ne pourrais apporter de couleur sur ce visage. Il regardait sa sœur les bras ballant le regard vide. Il nous a tenus responsable de sa mort. Et le pire, le pire, c’est qu’il avait entièrement raison.
Je lui aie promis de retrouver l’assassin. Je lui aie promis de me racheter. Je n’ai rien trouvé. Rien. Je n’ai pas réussi.

Les mains de Grissom, jointes devant lui avaient recommencé à trembler. Sara posa sa main dessus. Puis voyant que cela ne changeait pas elle glissa une de ses mains dans les siennes. Le tremblement cessa et le gout du sang dans la bouche de CSI se fit mon amer, plus facile à supporter. Il la regarda profondément.

Sara, douce : Je ne vous juge pas Griss. Vous n’êtes plus tout seul maintenant.

Elle sera un peu plus sa main.

Sara : Et maintenant.
Grissom : Maintenant je vais prendre une douche et on ira immédiatement au LVPD pour voir Jim.
Sara : Pour tout lui dire ?

Grissom la regarda fixement avant de répondre.

Grissom : Oui Sara, pour tout lui dire.

Hey !! La suite pliiiz !!

J'adore!!! j'adore la suite STP !

Dsl pas d eusite avnat ce week (et encore c'est pas sur ) very very sorry!