Amo ab imo pectore [Complète]

Gil et Sara sortirent de la voiture et montèrent jusqu’aux bureaux. Brass les interpella alors qu’ils se dirigeaient vers le bureau de Grissom.

Brass : Gil ! J’ai as te parler ! Tu as une seconde ?
Grissom : Ca tombe bien Jim, je dois te parler aussi.
Brass : Si c’est pour me dire que le tueur Davis Clarson est un ancien ami à toi, sache que je suis au courant.

Gil ouvrit la bouche de stupeur.

Brass : Je sais toute l’histoire, pas la peine de te fatiguer. Je voulais te dire qu’il y quelqu’un qui t’attend dans ton bureau.

Gil le regarda partir la bouche encore ouverte. Il se tourna vers Sara, qui haussa les épaules aussi surprise que lui. Il ferma la bouche et se précipita vers son bureau, la jeune femme sur ces talons. Grissom s’arrêta à l’entrée. Elle lui tournait le dos et n’avait pas osée s’asseoir. Ce qui se comprenait facilement vu qu’une araignée de la taille d’une main était posée dessus. Il sourit et s’approcha doucement de la femme.

Grissom, chuchotant : Je vois que tu apprécie toujours autant mes araignées, Rachel.

La femme se retourna, marqua un temps d’arrêt puis sans dire un mot sauta dans les bras de Gil. Il la serra dans ses bras et rigola.

Grissom : Moi aussi je suis content de te revoir.

Il déposa un baisé sur son front. Rachel lâcha l’entomologiste, en sachant pertinemment que cet élan d’affection était en soi un fait exceptionnel. Elle lui sourit.

Rachel : Tu n’as pas changé, sauf peut-être que tu es devenu fainéant au point de ne plus te raser !
Grissom : Eh ! Je ne te permets pas !
Rachel : Tu sais très bien que je me permets toujours tout !

Grissom se contenta de sourire et se tourna vers Sara. La jeune femme était appuyée contre le montant de la porte et avait suivit les retrouvailles d’un œil noir. Elle avait du rester auprès de son supérieur 10 ans avant qu’il tente de l’embrasser, et voilà que cette Rachel arrive et il la serre dans ses bras et l’embrasse sur le front ! Il y avait de quoi hurler de frustration !

Grissom, souriant : Rachel, je te présente Sara, qui est CSI de mon équipe de nuit. Une de mes meilleures scientifiques.

Sara sourit au compliment et tendis la main à Rachel.

Sara : Contente de vous connaître Mlle Dickman.
Rachel, serrant sa main : Je vous en prie appelez moi Rachel, contente de vous connaître également.

Grissom redevint sérieux et sombre coupant la joie de ses retrouvailles.

Grissom, sombre : je suppose que c’est toi qui à parler de…de tout ça à Jim Brass.

Rachel sortit une coupure de journal de son sac et la donna à Grissom. L’article détaillait avec précision les corps mutilés.

Rachel : En voyant les détails qui coïncidait, je ne pouvais pas rester sans rien faire et la meilleure chose c’était de venir te voir. Tu m’en veux ?
Grissom : Non.

Il soupira. Gil montra à son tour la lettre qu’il avait reçue de David. Rachel la lue regarda Sara, puis Gil, et lui rendit le papier sans un mot. Brass arriva comme un ouragan dans la pièce, un café dans ses mains.

Brass : Bien, tout est dit, ou il y a encore quelque chose que je dois savoir ?

Son ami lui tendit la lettre.

Grissom : On a un problème.

Quand il eu finit de lire, Jim regarda Sara, Grissom puis Rachel en espérant peut-être que l’un d’eux aller s’écrier : « Poisson d’avril ! », bien qu’ils fussent en juin. Voyant que rien ne venait il se laissa tomber sur une chaise et poussa un grand soupir.

Brass : En effet…nous avons un sérieux problème. Il faut vous mettre tous les trois sous protection.
Rachel : J’ai pris une chambre dans un hôtel près d’ici.
Brass : Je vais faire quadriller le secteur et mettre un policier devant votre porte. Personne ne pourra entrer dans votre chambre sans ma permission. Suis-je clair ?

Rachel acquiesça. Jim se tourna ensuite vers Gil.

Brass : Quand à toi et Sara je vous conseille de…
Grissom, le coupant : Je sais ce que tu va dire Jim, n’y pense même pas. Si on se retire de l’enquête, vous n’avez aucune chance de le retrouver. Pour ce qui est de la protection en dehors du boulot, Sara viendra chez moi, ma maison est plus sécurisante que son immeuble.
Sara : Mais…
Brass : C’est une bonne idée. Je vais mettre en place tout ça. Que vas-tu faire ?
Grissom : Je vais appeler les autres et on ira sur le terrain.

Jim le regarda un instant.

Brass : Faites attention à vous.

jadore! jaime tellement que jen saispas si je vais pouvoir attendre la uite!!

bne faudrais déja attendre que je la tape ! en tout cas j'informe quelle est finie sur papier.

Super !!
a quand la suite ??

eh bien si j'avance bien et si mon father ne s'empare pas de l'ordi lorsqu'il va revenir la suite sera postée ce soir !

bon je vous mets une petite suite pasque mon father c'est approprié l'ordi....
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Gil lui aurait bien répondu que généralement il ne cherchait pas les ennuis et que c’était les ennuis qui venaient le chercher, mais son ami venait de sortir précipitamment de son bureau.
Grissom se tourna vers Rachel.

Grissom : Tu vas faire quoi maintenant ?
Rachel : Je ne sais pas rentrer à l’hôtel probablement.
Grissom : Reste là. Tu ne seras pas enfermée ici.
Rachel : Merci.
Grissom : Je vais appeler Warrick, Nick et Greg. On va avoir besoin de tout le monde.

Il sortit du bureau à son tour, laissant Rachel en compagnie de Sara. Rachel soupira et secoua la tête.

Rachel : Je n’avais vraiment pas prévu de le revoir comme ça…

Sara savait qu’elle parlait de Grissom. La jalousie qui essayait d’être contenue en elle, remonta jusqu'à son cœur à vitesse grand V. S’en était trop pour elle. La jeune femme allait franchir la porte lorsque la voix de Rachel continua.

Rachel, soupirant : En vérité…je n’avais pas prévu de le revoir tout court.

Sara se retourna et fixa le professeur d’université d’un air incrédule.

Rachel, souriant : Pour que vous fassiez cette tête, il a du vous raconter plus de choses que je ne le croyais…j’espère que vous êtes consciente que le fait qu’il vous ai révélé cette partie de l’histoire , montre que sa confiance en vous n’a pas de limite…autant vous dire tout de suite que Gil et moi avons jamais ressenti que de l’amitié l’un pour l’autre.

Et voila, c’était clair comme de l’eau de roche. Un sourire apparu sur les lèvres de Sara.

Rachel, souriant : Il semble beaucoup tenir a vous.
Sara : Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Rachel, souriant : Plusieurs choses…Je ne cherche pas à être votre ennemie Sara…sur le plan Grissom je suis même votre meilleure amie.

Le sourire de Sara s’élargit.

Sara, souriant : Nous avons encore quelques minutes avant que les autres n’arrivent. Vous venez prendre un café ?
Rachel, souriant : Je viens…mais uniquement si l’on se tutoie.
Sara, souriant : Alors viens, tu verras le café n’est pas si mauvais que sa.

la suite, la suite, la suite, ...

LA SUITE§ jE VOIT que ta sign est sur les experts maintenant!

Franchement je ne sais pas si t'est au courant mais la saison 8

ENFIN ASSEZ PARLER !! JE VEUX LA SUITE !!

A propos de la saison 8 va voir sur la partie flood...tu me dis ce que t'en pense...

vite vite vite c'est vite dis ca ! pour l'instant je me consacre surtout au merveilleux et dernier tome de harry potter donc la suite attendra dsl...

voila, le dernier tome Harry Potter terminé ( il est magnifique je vous le conseille vraiment ! ) Je peut sans probleme vous mettre une suite.

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Grissom raccrocha au nez de son interlocuteur qui protestait encore. Warrick arrivait avec Nick dans 5 minutes et il avait pu avoir Greg au bout de la 20e sonnerie, menaçant de le virer s’il ne rappliquait pas immédiatement.
Il entra dans son bureau désormais vide et regarda autour de lui. Il mit un moment avant de comprendre ce qu’il cherchait. Ou plutôt qui il cherchait. Sara.
Gil se rendit soudain compte que Rachel n’était plus la non plus. Il savait que les deux femmes étaient faites pour s’entendre. Elle se ressemblait beaucoup, pas par le physique plutôt par le passé. Rachel avait eu une enfance difficile semblable à celle de Sara.
Il se dirigea vers la salle de repos et vit effectivement les deux jeunes femmes. Grissom sourit en regardant Sara. Elle seule pouvait lui redonner le sourire dans une enquête pareille. Elle seule pouvait faire battre son cœur à une vitesse folle. L’expression des sentiments était la chose où il était le moins performant, et pour dire à Sara qu’il l’aimait, il ne voyait vraiment pas comment s’y prendre. A moins que….

?? : Grissom !

Gil se retourna. Warrick et Nick venait d’arriver.

Grissom : Allez dans mon bureau. Greg va arriver. Je préviens Sara et je vous rejoins.

Warrick regarda le texan avec surprise. En général lorsqu’ils faisaient le point sur une enquête ils se réunissaient en salle de débriefing pas dans le bureau de leur supérieur. Nick haussa les épaules et se dirigea vers le bureau de Gil.
Ce dernier n’avait pas fait attention à la réaction de ses collègues. Il regarda encore Sara pendant un instant puis pris son portable et lui envoya un message. Il se dirigea ensuite dans la même direction que ses collègues espérant de tout cœur que son « plan » fonctionnerait.

Sara reçu le message peu de temps après son envoi, immédiatement l’incompréhension apparue sur son visage.

Sara : Qu’est-ce que c’est que ce charabia…
Rachel : Montre-moi.

Elle s’empara du portable et lu :

RDV ds mon bureau avec l’équipe.
Amo ab imo pectore.
Grissom
Rachel sourit en rendant le portable à Sara.

Rachel : C’est du latin. C’est une phrase qu’il ma sortit une fois, mais elle sonnait tellement faux qu’il ne me l’a plus jamais redite. Il faut y mettre tout son cœur pour arriver à l’exprimer.
Sara : Mais ca veut dire quoi ?
Rachel, souriant : Euh…je crois…que tu devrais demander ça à Gil.
Sara : Pourquoi ?
Rachel, souriant : Crois moi tu préféreras l’entendre de sa bouche.

Sara fronçant les sourcils. Décidément, elle comprenait de moins en moins !

Rachel : Il ne te considère pas comme une simple collègue Sara, crois-moi. Le problème avec lui c’est qu’il pert le contrôle quand il s’agit de ses sentiment, et il déteste ça. Je viens de le mettre dans une situation qu’il ne va pas aimer du tout. Crois-moi vous êtes sur la bonne voie.

Les jeunes femmes se levèrent et sortirent de la salle. Lorsqu’elles entrèrent dans le bureau, Grissom lança un grand sourire à Sara auquel elle ne manque pas de répondre. Sourires qui n’échappèrent pas à Rachel.

Grissom : Maintenant que nous sommes au complet nous allons vous informer du déroulement de l’enquête. Laissez moi vous présentez Rachel Dickman. Rachel le reste de mon équipe.

Les CSI saluèrent la jeune femme avant de reporter leur attention sur leur supérieur.

Grissom : David Clarson était notre meilleur ami, il ya plusieurs années. Il nous tient responsable du meurtre de sa sœur que l’on a retrouvé dans une ruelle, égorgée, la mâchoire cassée, la main droite coupée.
Greg :….Euh…répétez-moi ça, je crois que je n’est pas bien saisi
Nick : Ca ressemble beaucoup à la description que tu m’as fait des cadavres Warrick…
Grissom : Ce n’est pas tout : sa sœur était née en décembre.
Warrick, soupirant : Super ! Une autre bonne nouvelle ?

Grissom tendit sans un mot la lettre de David qui passa de main en main. Nick le dernier à lire posa un regard inquiet sur Sara en rendant la feuille à son supérieur.

Nick : O.K….Vous allez faire quoi maintenant ?
Sara, surprise : Vous ?
Nick : Sara…Grissom et toi êtes menacés, vous ne comptez tout de même pas aller sur le terrain.
Sara : Et pourquoi pas ?!
Nick : Sara…S’il-te-plait, écoute ce qu’on te dit pour une fois !
Sara : La décision ne m’appartient pas.

Ils se tournèrent tous vers Grissom qui poussa un soupir. Nick sembla comprendre.

Nick : Vous n’allez pas faire ça Grissom ?... N’est-ce pas ?
Grissom : Si l’on se retire de l’enquête, vous n’avez aucune chance. Bon au boulot : Greg, vous restez ici, je veux toutes les infos possible sur David.
Greg, se précipitant dehors : D’accord patron !
Grissom : Nick et Warrick vous retournez sur tous les lieux des autres meurtres, vous me passer le secteur au microscope ! je m’occupe de la dernière scene de crime.

Nick : Pas de problème ! C’est partit !

Il les regarda partir puis se tourna vers Sara.

Sara, ton menaçant : Et moi ? Vous ne me laissez pas ici j’espère Griss…
Grissom, souriant : Vous venez avec moi. Je pensais que vous le devineriez…
Sara, souriant : Je ne suis pas dans votre tête Griss.
Grissom : Allons-y.
Rachel : Je peux te voir une minute Gil ?
Sara, sortant : Je vous attends dans la voiture.

Il la suivit du regard et la vit disparaitre au bout du couloir, son regard revint sur Rachel.

Grissom : Il y un problème ?
Rachel : Amo ab imo pectore…Gil, c’était quoi ce message ?
Grissom : Tu as du comprendre, non ,
Rachel : Moi oui, mais pas Sara, comme tu l’avais prévu n’est-ce pas ? Je ne lui ai pas donné la traduction.
Grissom, s’énervant : Tu ne lui as rien dit !?
Rachel : Non et cela ne sert à rien de me jeter ce regard noir docteur Gilbert Grissom, il serait grand temps que tu apprennes à surmonter tes peurs !

Elle se leva et le fixa également.

Rachel : Sara n’attend que ça Gil…et toi aussi, alors fais un effort.

Elle sorti du bureau et son ami la vit entrer dans la salle de repos.

Grissom rejoignit Sara dans la voiture et mit brusquement le contact. Il était crispé sur son volant. Il avait déjà oublié que Rachel avait la capacité de trouver les mots juste pour qu’il se remette en question.
Ils n’avaient pas dit un mot depuis qu’il avait démarré. Sara lui jetait de fréquent coup d’œil. Ils s’arrêtèrent à un feu rouge.

Sara : Quelque chose ne va pas ?
Grissom, sec : Tout va bien !
Sara : C’est en rapport avec votre SMS ?
Grissom : …
Sara : Vous savez si vous ne voulez pas me le dire, ne dites rien, de toute façon les espoirs et les secrets j’en ai l’habitude avec vous…

On klaxonnait derrière eux. Grissom démarra plus que troublé par les paroles de la jeune femme. Il se gara non loin de la scène de crime, coupa le contact et verrouilla les portières.

Sara : Qu’est-ce qui vous prend ? Ouvrez ses portes !
Grissom : Sara…regardez-moi…


et maintenant les deux mots que vous adorez le plus : A suivre !

T'as pas le droit de nous faire sa! Franchement tu va perdre tout tes lecteurs a les faires souffri!r Nous je rigole biensur, j'adore trop pour ne plus lire malgrè tout le coté sadique de toi lol !!

eh eh ! et si j'ai tout les droits, c'est ma fic figure toi
et puis La reine des SMS est portée disparue (ewilianne ? youh ouh ya quelqu'un ?!) faut bien que quelqu'un la remplace en attendant qu'elle refasse surface...

ah non moi je hait ces mots et je veux la suite stppppppppp! cette fic est super!!!!!!

Very very very very sorry, mais en ce moment tout mes profs ce sont donné le mot et je croule sous les DS et interros... donc j'ai pas le temps de taper la suite, mais dés qu'ils ont fini leur crise, promis je vous mets une longue suite !

On klaxonnait derrière eux. Grissom démarra plus que troublé par les paroles de la jeune femme. Il se gara non loin de la scène de crime, coupa le contact et verrouilla les portières.

Sara : Qu’est-ce qui vous prend ? Ouvrez ses portes !
Grissom : Sara…regardez-moi…


Sara tourna la tête vers lui. Son regard rempli d’une tendresse inhabituelle la désarçonna.

Grissom : Sara, à propos de ce qui…ce qui c’est passé ce matin dans le parc je…
Sara, le coupant : Ce qui a failli se passer, Griss. Ne vous inquiéter pas, c’est déjà oublié.
Grissom : Pas par moi.
Sara, surprise : Pardon ?
Grissom : Moi, je n’ai pas oublié.

Sara le regarda en plissant légèrement les yeux. O.K., ça, ce n’était pas du tout normal.

Grissom : Et à propos du message…je vous donnerez une traduction, je vous le promet, mais…pas maintenant le moment est…vraiment mal choisi.

Il la fixa encore un instant. Bientôt il devrait être à nouveau le patron et cette conversation devra être mise de coté. Gil voulait profiter de ces dernières secondes.
Pourquoi est-ce si difficile ?

Grissom : Ne croyez pas que je joue avec vous Sara, c’est juste que…je ne sais pas comment faire…

Il déverrouilla les portières et sortit du véhicule. Sara haussa un sourcil puis un sourire apparu sur ses lèvres. C’était déjà un début ….Elle sortit à son tour et le rejoignit sans un mot.
Les badauds étaient en nombre. Lorsqu’il aperçu des journalistes, Grissom soupira. Comment voulez-vous que je travaille correctement ?
Il s’adressa à un policier en désignant la foule et la presse.

Grissom : Virez-moi ça !

Il passa sous la bande de sécurité et s’engagea dans la ruelle, Sara sur ses talons.

Sara : Vous n’avez pas l’air d’apprécier les journalistes.
Grissom : Je n’ai pas besoin de publicité je me contente de faire mon travail.
Sara, haussant les épaules : C’était juste une constatation Griss.

Ils étaient au bout de la ruelle. Le corps de la jeune fille gisait derrière une poubelle.
Grissom s’agenouilla et mit ses gants et commença à relever les indices.
il fut sidéré de voir que la scène était remplie de preuves.

Grissom, soupirant : Depuis qu’il s’est fait connaitre, David ne cherche plus à dissimuler les preuves : j’ai trouvé des bouts de peau sous les ongles de la victime et des tas d’empreintes autour du corps il n’a même pas pris la peine de faire le ménage.

Sara n’avait pas dit un mot depuis leur arrivée et jetait des regards inquiets autour d’elle.

Grissom, se tournant vers elle : Sara ? Quelque chose ne va pas ?
Sara : J’le sens pas cet endroit.
Grissom, surpris : Pourquoi ?
Sara : Ce n’est pas la même chose que les autres meurtres. La ruelle est beaucoup plus profonde et il y a trop de…enfin…trop de choses autour du corps.
Grissom, levant un sourcil : Des poubelles, Sara, de simples poubelles.
Sara, secouant la tête : Il ya quelque chose qui n’est pas normal.

Sur ces mots, elle ouvrit une poubelle et commença à retirer son contenu. Grissom haussa les épaules et reporta son attention sur le corps. Pendant un instant le visage de l’adolescente se modifia et il vu le corps sans vie d’Angela. Il entendait à nouveau les sirènes de police, les derniers mots qu’il avait échangé avec David lui martelait le crane.
Gil secoua la tête. Il prit des photos essayant de contrôler son esprit pour ne plus y penser. Trop de mauvais souvenirs.

Sara, apeurée : Gri…Grissom !

Gil se releva et regarda Sara en fronçant les sourcils. Elle fixait l’intérieur de la poubelle, une lueur de panique dans ses yeux.

Grissom, inquiet : Sara ?

Il s’approcha et regarda dans la benne.
L’entomologiste se figea, pétrifié.
Une bombe.



Niark niark j'entend déja les : "sadiques !" qui vont fuser d'ici peut de temps...mais oui moi aussi je vous aimes ! lol !

c'est vrai t'es SADIQUE!!!! je veux la suite!!!!!!!!!!!!!!!!

Grissom mit une seconde à réagir. Le compte à rebours indiquait qu’il leur restait 10 secondes. Sans prendre le temps de réfléchir, il prit la main de Sara et l’entraina loin de la benne. Les sprints avec Rick n’étaient pas si inutiles que ça finalement.
Gil savait qu’il n’arriverait pas au bout de la ruelle en 10 secondes. Lorsque la bombe explosa, ils leur restaient 30 mètres à parcourir avant d’être en sécurité. Le souffle de l’explosion les projeta à terre et Grissom se retrouva sur Sara, la projetant du mieux qu’il pouvait.
Lorsqu’ils les estimèrent hors de danger il se leva et aida Sara à faire de même.

Grissom, inquiet : Vous n’avez rien ?

Sara secoua lentement la tête fixant les flammes devant-elle, encore choquée parce qu’il venait de se passer. Gil ne lui avait pas lâché la main.
Les policiers accouraient vers eux.

Grissom, aux policiers : Tout va bien ! Nous n’avons rien ! Appelez les pompiers pour éteindre ça.

Il resserra sa prise sur la main de Sara et l’entraina vers la voiture. Il l’aida à s’installer sur le siège avant.

Grissom : Je reviens tout de suite Sara.

Il referma la portière et revint sur ses pas. Les pompiers ne vont plus tardez, lui lança un flic. Grissom s’en moquait. De toute façon tout brulais dans les flammes le corps, les indices, leur matériel. Il soupira et retourna à la voiture. Il s’assit au volant et regarda Sara. Gil vit que le choc était passé même si la peur se lisait encore dans ses yeux.

Grissom : Ca va ?

Sara hocha la tête. Gil mit le contact et démarra en se dirigeant vers le labo.

Sara : On la échappé belle, pas vrai ?
Grissom, avec un sourire en coin : Vous avez eu une bonne intuition, come toujours d’ailleurs…

Sara sourit. Comme d’habitude il n’avait pas vraiment répondu à sa question.

Sara : Où allons-nous ?
Grissom : Au labo, je crois que nous allons avoir besoin de faire un brin de toilette.
Sara : Sa va vous faire du bien, on dirait que vous sortez tout droit d’une cheminée !
Grissom : Je sais que j’ai une barbe Sara, mais je ne pense pas que le rôle su père noël est fait pour moi.

Sara éclata de rire, exactement comme Grissom le voulait.
Lorsqu’ils arrivèrent sur le parking, une silhouette que Grissom identifia comme celle de Brass se précipita vers eux. A la grande surprise de Gil, il ouvrit brusquement la portière et le tira hors du véhicule par le col, amenant son visage tout prés du sien.

Brass, énervé : TOI ! Ne me refais plus jamais ça !

Grissom était abasourdi. Il jeta un coup d’œil à Sara qui contrairement à lui trouvait la situation plutôt comique.

Grissom : Jim ! On peut savoir ce qui te prend ?!
Brass : Y me prend sue les policiers que j’ai envoyé pour vous protéger ne vous on pas trouvé sur la scène de crime que je leur ai indiqué ! A la place, ils découvrent un incendie provoqué par une bombe et en plus personne ne sait où vous êtes ! Voilà ce qui me prend !
Grissom : Oh ce n’est que ça !
Brass : QUE CA ! ES-CE QUE TU AS LA MOINDRE IDEE DE L’ETAT DANS LEQUEL JE ME TROUVAIS ?!
Grissom : On est là maintenant calme-toi, s’il-te-plait !

Brass le lâcha et se passa une main sur le visage.

Brass : Qu’est-ce qui c’est passé.
Grissom : Je n’ai pas besoin de trace écrite pour savoir que la bombe est signée David.
Brass : Où était-elle cette bombe ?
Sara : Dans une poubelle.
Grissom : C’est Sara qui l’a découvert.

Il avait dit ça en la regarda avec fierté, un sourire sur les lèvres, ce que Sara ne manqua pas de noter. Au fond cette explosion avait peut-être du bon…

Brass : Et maintenant ?
Grissom : On va aller se débarbouiller un peu et rejoindre Nick et Warrick.
Brass : Et voilà ! C’est ce que je craignais ! Je vais me faire tuer !
Grissom, surpris : Quoi ?
Brass : Rachel ! J’ai cru qu’elle allait m’égorger lorsque je lui ait dit qu’on ignorait totalement où vous étiez !

Grissom éclata de rire suivit de Sara. Jim ne put s’empêcher d’esquisser un sourire.

Brass : Et vous trouvez ça marrant ?
Il les quitta en riant et monta dans sa voiture. Sara et Grissom prirent l’ascenseur. Sara s’appuya sur la paroi et ferma les yeux.

Grissom : Tout va bien Sara ?
Sara : Pourquoi cela n’irais pas ?

Gil ne répondis pas, profitant qu’elle ait les yeux fermés pour la contempler en souriant. Se souvenant brusquement des paroles de Rachel ce matin, il avança a coté de Sara et approcha ses lèvres de son oreille. Elle sentit le souffle chaud de Grissom sur son visage. Elle frémit.

Grissom : Je ne sais pas…peut-être avait vous peur….ce qui est normal puisque nous sommes tout deux en danger de mort.

Sara ouvrit les yeux et posa brutalement ses mains sur le torse de Grissom, le plaquant contre la paroi de l’ascenseur. Elle approcha doucement son visage du sien. Verrouillant leurs regards, elle frôla son nez.

Sara, chuchotant : Et vous Griss ? N’avez-vous pas peur ?
Grissom, chuchotant : Si…pour vous.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent donnant ainsi un prétexte à Sara pour s’écarter de son supérieur qui avait maintenant un mystérieux sourire sur ces lèvres.
Grissom lui laissa un peu d’avance puis pénétra à sa suite dans le vestiaire. Il vérifia que personne ne venait et s’approcha d’elle. Il mit ses mains sur ses hanches et l’attira doucement contre son torse. Sara émit un hoquet de surprise.

Grissom : Venez-vous de flirter avec moi mademoiselle Sidle ?
Sara : Si ma réponse était positive qu’en concluerais vous docteur Grissom ?
Grissom, chuchotant à son oreille : Que nous devrions survire à une bombe plus souvent…

wouhou j'adore! vive la suite, je veux savoir comment va évoluer la relation Gil/Sara!!!!!

eh bien écoute maintenant dans mes suites il y auras de plus en plus de GSR...plutôt pas mal non ?

pas mal?Super géniale tu veut dire alors la suite vite pleaseeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Wow !! Just the continuation !!

voila je rempli ma part du contrat, tu peux mettre ta suite miss sidle !
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Grissom : Venez-vous de flirter avec moi mademoiselle Sidle ?
Sara : Si ma réponse était positive qu’en concluerais vous docteur Grissom ?
Grissom, chuchotant à son oreille : Que nous devrions survire à une bombe plus souvent…


Il s’écarta d’elle à regret. Il ne pouvait pas aller plus loin…du moins pour l’instant…L’épée de Damoclès planait au dessus de leur tête, et Gil ne voulait pas s’engager dans quelque chose, sans être sur d’être encore de ce monde à la fin de l’enquête. S’engager ? Etait-ce bien ce qu’’il avait pensé ? Oui il était prêt à s’engager avec Sara…si seulement elle voulait de lui…Se retourna pour contempler sa CSI préférée lorsque qu’il s’aperçut qu’elle avait quitté la salle à son insu. Grissom s’approcha du lavabo, un rasoir à la main.

Sara marchait en direction de la salle de repos. Elle voulait s’éloigner un peu de Gil. Pas que sa conduite totalement nouvelle et inattendue la déplaisait ! Bien au contraire ! Mais elle avait besoin de faire le point. Il semblait se rapprocher d’elle, c’était tout nouveau et elle avait peur. N’allait-il pas s’enfuir encore une fois ? Il était si imprévisible !
Entrant dans la salle de repos, elle fut tirée de ses pensées par Rachel qui se précipita sur elle.

Rachel : Sara ! Tu vas bien ?
Sara, étonnée : Euh…oui, oui, qu’est-ce qui t’arrive ?
Rachel : J’ai eu peur pour toi !
Sara : Toi aussi ?

Rachel regarda son amie un instant puis un sourire vint étiré ses lèvres.

Rachel : Qui donc s’inquiète pour toi ?
Sara, souriant : Pourquoi pose tu la question ? Ca coule de source, non ?
Rachel, souriant : Waouh ! Si Gil t’a dit ça, c’est que tu as vraiment de l’effet sur lui ! Raconte-moi. Que vous est-il arrivé ?

Sara lui narra tout ce qu’il leur était arrivé depuis leur départ du labo : la « déclaration » de Grissom dans la voiture, la bombe, Brass, leur flirt dans l’ascenseur ainsi que dans les vestiaires.
Rachel soupira et passa un main sur son visage.

Rachel : David vise Gil également maintenant, sinon il n’aurait pas pris la peine de mettre une bombe dans la benne. D’ailleurs où est Grissom ?
Sara ,se levant : Je vais le chercher. On se retrouve dans son bureau ?

Sans attendre la réponse elle sortit de la salle. Elle était vraiment incorrigible ! Elle qui voulait s’éloigner un peu de Gil, trouvait le moindre prétexte pour le rejoindre ! Perdu dans ses pensées, la jeune femme entra sans regarder devant elle dans le vestiaire. Erreur. Sara percuta immédiatement le corps de Grissom. Automatiquement il la retint par la taille pour lui éviter de tomber, la serrant contre son torse. Elle se sentit rougir et leva les yeux vers son visage.

Sara : Désolé je …Eh ! Mais tu n’a plus t’a barbe !

Grissom sourit et haussa un sourcil, amusé autant par la remarque que par le tutoiement.

Sara : Euh…je veux dire…vous…
Grissom, souriant : Après ce qu’on vient de vivre je crois que l’on peut se tutoyer. Tu ne pense pas ?
Sara : Si tu veux…

Il l’a serrait toujours contre lui. Ne le quittant pas des yeux elle déplaça une main posé sur le torse de Gil, vers son visage. Elle passa doucement ses doigts sur la joue fraichement rasée de Grissom. Il ferma un instant les yeux, appréciant ses caresses.

Sara : Finalement…je te préfère sans.

Elle avait parlé doucement, presque dans un souffle pour que lui seul l’entende. Se hissant sur la pointe des pieds Sara déposa un baisé sur la joue de Gil et se dégagea de son étreinte. Il la regarda partir à grands pas. Grissom passa ses doigts à l’endroit où les lèvres de la jeune femme se trouvait il y a quelques instants. Il aimait ces nouveau échanges, et il se promis de tout faire pour que cela se renouvelle.

ah oui il en faut plus de petits échanges comme ça!!!bon tu as respecté ta part du contrat alors je vais respecter la mienne!!mais je demande quand même un suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!